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26 mai 2009

RÉAPPRENDRE À RÊVER....

L'oubli ne serait, ou ne deviendrait-il en soi une paresse ?
La paresse d'affronter son passé pour épouser le présent,
Ce présent qui refoule nos souvenirs ô combien si pesants !
À l'oubli je ne m'adresse. Je siège là où la bonté voit la noblesse.

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Je me souviens des soirées et de la chaleur des poêles à charbon....
Nombreux étions-nous, en famille, à nous regarder droit dans les yeux....
Loins des longs hivers d'autrefois. Mais celui de décembre fût rigoureux.
Un rien contrariait nos repas que l'oubli n'en fût servi. Cela était bien bon.

 

Non à l'oubli. L'oubli qui se pavane souvent aux regards d'autrui.
Oublier son désespoir serait une fracture qui, jamais, ne pourrait guérir.
Régnent les larmes de celui-ci n’arrosant le charme qui cherche à grandir....
Le souvenir pleure l'ennui des paysages qui ne se plaignent des bruits.

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De ces bruits, j'accepte et reçois ton Amour....
Je ne peux en rester sourd, et en toi je crois.
Que l'oubli nous charrie ! Car devant toi, je suis aux abois.
Et je te déclare ma flamme. Concept acclamant les toujours....


Des toujours qui veulent épouser pour la vie : car je veux t'aimer.
T'embrasser à ne plus rien entendre.... Seul le pincement de nos lèvres....
S'embrasser pour l'éternité. Là où le regret ne serait qu'un petit lièvre....
Plus proche de toi, mon Amour : je te veux pour réapprendre à rêver.

JACQUES DÉSIRÉ
Le 26 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

22:34 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

22 mai 2009

MA VOLONTÉ NE SE DÉCIME....

Ne serais-je à vos yeux qu'un simple malade ou une victime ?
J'ai passé mon temps à supporter votre incompréhension.
Et je suis dans l'obligation de me soumettre à une récréation....
Puis, je me rapprocherai des montagnes pour mieux voir les cimes.


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Le besoin de crier serait peu dire : puisque son écho ira loin, si loin....
Pas l'écho d'une cloche.... Mais le reproche qui se devrait d'être
Pour ce faire, je confie au corps médical ces vers pour renaître....
Ressaisissez-vous ! Mais ne vous réjouissez du peu et de petits riens.


Les petits riens vous disent : ô combien, je veux vous dire “merde”....
Merde pour votre incompétence qui grandit à chaque rendez-vous.
N'en soyez surpris. Où sage décision acquiesce tous les sales coups.
Les coups bas qui ignorent ma désolation. Et pleurs s'y perdent.


Je dois vous avouer que ce langage n'est pas une coutume en moi.
Serait-ce un nouveau voyage que celui de sombrer ainsi dans le noir ?
Pas un crédit à votre charge où ma confiance ne jouit du fruit du hasard.
Voici ma franchise qui se voit convoitée, vous confiant mon refus et ma foi.


Puisque votre médecine n'en demeure plus qu'assassine....
Notre devoir se devait une mutuelle compréhension qui ne fût !
Celle-ci épuise mon âme. N'en devrais-je encaisser ainsi les abus ?
J'épuiserai les maux qui s'éternisent où ma volonté ne se décime.

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Les cimes des montagnes en resteront plus blanches que jamais....
Surprise, mon âme n'acceptera votre négligence qui n'est que dégoût....
Le dégoût du mépris reflétant celui-ci. Où le silence n'est qu'un atout....
Un atout majeur qui se dispense d'en rajouter plus qu'il n'en faudrait.


Ainsi ne clamez votre victoire : puisque j'ai appris de par la maladie....
Appris que toute vie doit se vivre et se protéger en la même occasion....
Jamais ma raison n’épousera les déboires de ma vie qui part en dérision.
Si victoire existe, elle se précipitera auprès de l'Amour qui nous réunit.


Sur une majestueuse montagne, le soleil étincelle et l'Amour m'éblouit....
Le vent vient embrasser nos visages humides de nos yeux larmoyants....
Car nos pleurs et nos larmes deviendront un fleuve pour les innocents....
Par nos étreintes, corps et âmes, se transcendera notre Amour accompli.

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 22 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

22:59 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

18 mai 2009

QUE JAMAIS NE S'ÉTEIGNE....

Le désespoir serait-il une succube puisant ainsi notre énergie ?
Énergie privée d'élan. Mais ne serait-ce le privilège du talent ?
Silencieux et sournois talent qui accuse les faits tout simplement.
Code secret où discrétion s'engage de droit à l'ouverture de l'esprit.

Noble est l'ouverture de l'esprit déployant ses ailes pour chasser le refus....
Refus devenant des refuges, ne se réconfortant pas des tumultes et des insultes....
De grâce, montrez-vous plus indulgent ! Vous qui profanez la voix des cultes.
La voix des sages m'apprenant les références où je ne demeurerai qu'un enfant ému.

Ému et blessé, puisque je ne peux me soustraire aux erreurs médicales....
Ce jour, celles-ci ne demeurent  que blessures inguérissables et meurtrières....
Ainsi je vous annonce que seul l'Amour occupera désormais mes prières....
Jamais je ne renoncerai à cet Amour. Ou déceptions se réduiraient en ballots de paille.

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Que s’épanouissent les fleurs tout en s'élevant vers la lumière....
Où prières sont confuses, mais comprises par toutes les étoiles....
Chariot d'étoiles où se construit notre bonheur plus que crucial....

Et loyales nos âmes récusent les contrariétés qui détaillent nos prières.
Le soleil illumine notre croisière. Que jamais ne s’éteigne cette lumière....

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 18 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

22:44 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

15 mai 2009

L'HUMOUR SE PLEURE....

Ai-je tort ou le droit de me confier ainsi à mes amis ?
Mes confidences se voient exploser en éclats de rire....
Votre humour me contrarie. Il est certain que je ne peux applaudir....
L'humour est une arme redoutable : telle je la ressens aujourd'hui.


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Ce bel humour pour certains est un besoin pour soulager leur angoisse....
Pour moi, il est bien triste d'en arriver à ce stade où l'exploration demeure.
Exploration blessante où je n'ignore en rien de ce qu'en souffrent nos coeurs.
Et le pardon est digne puisqu'il s'en réfère au chant d'un corbeau qui croasse.


La nature est bercée par les chants des oiseaux qui se respectent....
Aussi pure qu'une eau de source qu'on peut boire sans aucune crainte.
Et lacunes ne vous honorent puisqu''elles sont dérisoires et ne sont saintes.
Et l'humour se pleure. Mais d'Amour, je t'acclame où d'un rien je te suspecte.

 

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Démonstratives et majestueuses, les montagnes s'élèvent toujours vers le ciel....
Et tentatives ne vous blessent si le champagne ne pétille sous les lamentations.
Je pleure comme un enfant. Où les lendemains s'inclinent devant votre compassion.
Prisonnières sont mes raisons de vivre pour voir les saisons, là où réside le soleil.


Non François : je ne vis pas dans l'humour car le déséspoir m'a frappé....
Et je reste pantois sur ces mots, car mon destin est pesant de chagrin.
Puis frappe à nos portes : le respect accuse mes chants et ces refrains....
Tu m'as rappelé à l'ordre : alors je déposerai ainsi tous mes regrets à tes pieds.

 

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Lâcheté et plaisanteries sont constamment en désaccord....
Là où cruauté perce à l'horizon mais est en perte d'altitude....
Et la spontanéité des mots se grave sans s'accrocher aux habitudes....
Pourtant celles-ci s'imprègnent là où se déchirent attitudes et réconfort.


Et rébellion contre toutes les citations faisant éloge en référence à l'humour !....
Je reconnais qu'un sourire serait audacieux sous la dite faiblesse de nos larmes....
Bien qu'elles soient incomprises et pleines de noblesse. J'en resterai sous leur charme....
Puisque sourire est parfois plus aisé. Alors j’irai pleurer auprès de lui, toi, mon Amour.

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 15 Mai 2009
Condé sur l'Escaut

22:50 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

T'AIMER....

À René....

 

Après l'orage perce à l'horizon un beau Ciel bleu pour les amoureux....
Les sentiments cheminent nos coeurs où les secondes se plaignent....
Elles accusent les heures qui trainent. Où toutes lumières se peignent....
Et vantent les feuilles confuses que l'orage a surpris : celui-ci est courageux.


Courage est en appel pour ce que je dois te confier....
La peur m'étreint sous un soleil pourtant audacieux....
Et l'audace est une merveille pour moi qui ne suis capricieux....
Puis confiance se promène où, d'aisance, je ne cherche qu'à t'aimer.

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T'aimer est un chant où s'épanouissent nos tendres sentiments....
Mon coeur te couronne et t'honore : puisque fertile à notre Amour....
Des refrains complices où réminiscentes sont les flammes en ce jour....
Flammes entretenues par nos coeurs où lueurs étincèlent sous les compliments.

 

 

Compliments ô combien respectables puisque se glisse noble vérité....
En me faisant part du retard de ton arrivée, car tu étais resté à quai,
Non, je ne devais m'en inquiéter : aussitôt tu m’as rassuré comme jamais,
Avec ces mots simples où d'aisance se transcendait notre complicité.

 

JACQUES DÉSIRÉ
15 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

22:29 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

11 mai 2009

LE CRI....

D’habitude, j'encaisse les coups sans me plaindre pour autant....
Ce n'est pas faute d'avoir tiré la sirène d'alarme comme il se devait....
Il est sûr que celle-ci fût ignorée. Et j'ai pour devoir de le conter au plus vrai.
Servitudes en rappel. Devant Dieu, je prie pour atténuer la force du vent.

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Oui ! Je dois crier plus fort pour atténuer la violence des éléments....
Je suis en désaccord avec cette vue qui baisse et se revêt d'un brouillard...
Pourquoi devrais-je taire la loi de notre Bonheur et d'un Amour renaissant ?
Quelle est cette loi nous privant de clamer notre Amour emporté par nos espoirs....

 

 

Ma vie, si bohémienne, n'a aucun reproche à se faire. Et combien même ?
Rien n’est soupçonnable au regard de Dieu puisque mes prières furent entendues....
Pourquoi dois-je être éconduit, voire menacé, par des faits sous entendus ?
Dénonciateurs : n'en deviendrais-je le fruit des Amours qui conjuguent les “je t'aime” ?

 

 

En la même occasion, nos “je t'aime” dérangeraient-ils quelque part notre Dieu ?
Référant à nos prières, quel pardon aurais-je négligé dont les raisons me manquent ?
A Dieu, je m'adresse. Je suis aux abois devant les nuages où compassion se planque....
N'ai-je assez donné pour oser solliciter le meilleur ? Serais-je trop audacieux ?

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Je suis au regret d'en décevoir plus d'un. Mais là, j'avoue, que trop c'est trop....
Le cœur grand ouvert, je n'ai jamais cherché à tromper ma joie sur une croix....
Ma croix qui me pèse, puisqu’incomprises mes prières restent aux abois....
Que vertu et dignité se manifestent : le vin se mélange de larmes et d'eau.

 

 

Ô mon Dieu, je suis contrarié comme jamais.  Et pour cause !
Précieux est l'Amour que je donne sans rien attendre en retour....
Capricieuse journée où j'ai tant à découvrir et à t'offrir mon Amour....
Contagieux sont mes sentiments, et de pardons, je résonne et ose.


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Simplicité n'engage que nos cœurs, mon amour, ma douceur....
Dans la complicité, nos larmes sèchent ainsi nos souffrances....
Et les offrandes n'auront de cesse là où siégeront tous les silences....
Obéissantes prières puisqu'elles sont nobles. Et pourtant, j’ai si peur...!

 

 

Peur de nos larmes où plus rien n'est à craindre....
Fleurs et lumières éblouiront toute logique légitime....
Flatteurs, nos sourires s'épanouiront au grand large maritime....
Sous l'océan de nos prières, émergera alors le soleil que nul ne pourra éteindre.


JACQUES DÉSIRÉ
11 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

23:10 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

06 mai 2009

SOIF DE T'AIMER

Je te comprends et ressens le besoin d'être. Je reste à ton écoute....
A l'écoute de nos cœurs qui éprouvent et partagent la même passion....
Plus proches, on ne peut. Et pour l'heure, je repousse ainsi toute équation.
Équation dont les surprises sont de taille en décortiquant bien des doutes.


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Non ! Le doute ne peut régner. Quoiqu'il se dispense de tout commentaire....
Pourtant ne préférerais-je la finesse qui se veut reine pour mieux t'aimer.....
Les "pourquois" sont de sagesse pour admettre cette vibrante complicité.
Complicité où baignent harmonie et valeurs, nous ne le pouvons plus le taire.

 

 

Je voyage dans un univers inconnu....
L'inconnu est splendide tant celui-ci se partage....
Non ! Aux ouï-dires, puisqu'à nos yeux ils font naufrage.
Mes rêves t'ont reconnu. Ils ne se préoccupent pas des sevrages.


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Ivresse de cette soif de t'aimer....
Des " je t'aime " à n'en plus voir la fin....
Rien est nuisible. Bien que tu sois loin....
Si paisible, combien tu es présent dans mes pensées.


 

Ô mon Amour, de toi seul ai-je besoin...!
Puissent les " toujours " en disposer autrement....
Et je cours pour t'aimer. Car tu es mon prétendant....
Un parcours sans faille où les étoiles nous veulent pour témoins.

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 6 Mai 2009
Condé sur l'Escaut

22:46 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

05 mai 2009

VAGUES DISCRÈTES....

Une journée si différente et se montre plus qu'exigeante...!
Des idées préconçues où l'Amour a posé toutes ses balises....
Tant ces idées ont marqué les heures qui dansent et s'éternisent....
Puis s'épuisent dans le vertige ébranlé par cette raison dérangeante.

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Et pourquoi dérange-t-elle ? Si d'absences elles se justifient...!
Se justifier à travers ces mots, loin des doute : elles sont si confuses,
Puisque les saisons conformes ne troublent la dignité qui s’y refuse....
Refus et déni apprennent où se décline l'urgence en cet instant précis.

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Urgence qui te voudrait auprès d'elle, mon tendre et bel Amour....
Urgente délivrance car nos étreintes t'ont encouragé à faire tes valises....
Voir naître pour nous un avenir sans plaintes, et que nos vœux se réalisent....
Admettre et combler nos souhaits où nouvelles épreuves se feront sans vautours.

 

 

Des vautours qui rompent le silence. Seuls les regrets puissent les entendre....
Faubourg où la luxure est à l'ordre du jour, dépendant des abus trop tendancieux....
Là, j’affirme qu'un phénix ne peut que nous encourager à nous montrer audacieux....
Ce phénix craint l'alignement des menhirs où le paranormal frappe à n’y rien comprendre.


Pourtant l'horizon est souriant. Puisse-t-il nous soustraire à toute adversité...!
Tant il reste muet sur le chemin du Bonheur où se proclame, par nos cœurs, la joie....
Au cri des mouettes, nos futurs promenades exploreront cette joie, et j'y crois....
De l'océan émergera l'insouciance de notre Amour : vague discrète récompensant notre ténacité.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 5 MAI 2009
Condé sur l'Escaut

(tableau Philippe Lecomte)

22:53 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

04 mai 2009

LA RIVIÈRE DU BONHEUR

Et tombent les larmes sous mes paupières....
Je vous prierai de refermer la boîte de pandore.
Rien n'est plus vrai que l'amour venu en réconfort.
Sous la simplicité des mots, vient ainsi de naître une rivière....


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La rivière d'un bonheur naissant et complice par nos sentiments.
Et perce une Lumière : celle brillante et pétillante de tes regards....
Regards perçants de noblesse où l'Amour range les frivolités dans un placard.
Et je te cherche dans le recoin de ma mémoire qui te recouvre de compliments.


Compliments pour cette volonté d'aimer où deux cœurs se sont plaints.
Plaintes comprises mutuellement, puisque dénonçant notre pauvre passé,
Passé lourd de lassitude, mais en pleine quête de découvrir l'Amour ignoré,
Ignoré des fâcheuses habitudes qui, en revanche, acclament celui-ci mais ne le craint....

 

jeune.pleurs.jpgLarmes que tu as su comprendre et essuyer avec délicate tendresse,
Mon cœur vient pour rassembler nos élans vertigineux et voudrait te remercier....
Torrents de mercis qui n'auront de cesse, prés de toi, mon Amour, ô combien appréciés,
Et se protègent nos larmes sous le charme de nos câlines attentes qui se reconnaissent....


L'Univers n'a plus qu'à se montrer patient des amours complices et naissants.
Et des verres se brisent mais ne demandent et ne recherchent qu'à t'aimer....
Et se meurent traditions où demeurent les additions qui ne traduisent l'humilité....
Où d'humilité s'apprennent mais où ne se plaisent les Amours blessés et complaisants.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 04 Mai 2009
Condé sur l'Escaut

22:40 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

02 mai 2009

RIEN N'EST DE SABLE....

Quatre sorties..., et l'ignorance te recherche mon cœur.
Pourtant, tu ne pars pas si loin. Et déjà tu me manques....
Soif de mutuelles confidences où le soleil se planque,
Honorant un silence courtois. Et se sèchent nos pleurs.


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Ce besoin de te parler, mon Amour, et te sentir plus proche....
Avalanche de mots plus évidents qui se posent sur nos lèvres....
Ô combien indispensables se montrent ces élans bondés de fièvres.
Puis, la porte s'ouvrant, tu réapparais, si confiant. Et à toi, je m'accroche....


 

Ce prochain lundi sera un jour difficile à vivre pour admettre l'évidence....
Mieux que vérité ne s'en prive, puisque l'avenir se doit de guérir nos plaies....
Audacieuse franchise qui est à l'attente de beaucoup où perlent les tendres secrets.
Secrets dévoilant ton courage. Et dans tes bras je m'écroule, éprouvé par nos souffrances.


 

Souffrances ne devraient se plaindre, car d'étreintes naît une complicité confidentielle....
Que d'obstacles ne se fâchent. Car, avec toi, tout devient facile et franchissable....
L'impossible ne demeure, mon Amour, puisque de confidences rien n'est de sable.
Sable venu des océans où s'éternisent les rêves qui se doivent un avenir bien réel

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Aujourd'hui, le bonheur, enfin, ose nous sourire.
En dépit des problèmes, des aurores d'autrefois.
Virtuoses aurores et crépuscules auxquels on croit,
Puisque se rebellent nos cœurs devant tous les soupirs.


 

Somptueuses et voluptueuses espérances s'écrivent sur une ardoise....
Un amour prodigieux voit le jour. Et d'oubli en ces courts moments de répit,
Puissions-nous, ainsi, s'en montrer dignes et complices, sans larmes en délit.
Que promesses se surpassent et nous surprennent, où nulle empreinte ne se croise.

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 02 Mai 2009
Condé sur l'Escaut

03:40 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

30 avril 2009

LES GARDÉNIAS

Les médias nous informent des faits qui feront la une.
Tellement concentrés sur ce qu'ils doivent nous dire....
Et, négligeant l'événement, celui-ci ne restera qu'un souvenir....
Puis se succéderont les lendemains où pleurera la Lune.


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Notre Lune nous rappellera les faits trop souvent oubliés
Puisque plus sensibles scintilleront alors toutes les étoiles....
Et notre ciel céleste acceptera l'oubli éphémère et glacial.
Alors gronderont les orages pour ces faits divers trop vite émiettés.


 

De mémoire, notre planète accusera du coup les médias....
Ces médias flatteront leurs égaux. Et d'alertes naîtra le mirage....
Tremblera notre terre où compassion disparaît  sous les nuages....
Se briseront les miroirs. Et refleuriront dans nos jardins les gardénias
.

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Pour la grippe mexicaine, les ragots iront bon train....
Une épidémie où science et médecines sont dépassées....
Crainte en retour du souvenir que jadis l’empreinte a laissé....
Combien de décès sont à craindre ? Où prières gagnent du terrain.

 

 

Ainsi les journalistes et reporters pourront se dispenser du droit d'image....
Celui-ci, blâmé par la réalité, surpassant toute fiction que mon cœur déplore....
Oui ! Toute magnanimité se gagne à l'écoute de son prochain qui ne sert de décor
À tort classé dans les archives où on ne se maîtrise plus son bien fondé ni son usage.

 

JACQUES DÉSIRÉ
30 Avril 2009
Condé sur l'Escaut

23:05 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

29 avril 2009

JE TIRE MA RÉVÉRENCE

Je pense qu'il serait grand temps
De vous tirer, ce jour, ma révérence.
Il s'est édifié un mur : le mur du silence....
Un silence auquel je m'oppose, et pourtant...!


 

Pourquoi devrais-je souvent m'incliner, voir même me prosterner...?
Évitons le pire tout en conservant ainsi les formules de politesse....
Politesse rimant avec votre indifférence qui vous honore de richesse,
Puisque celle-ci est reine à vos yeux. Mais d'autres s'en montrent consternés.

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Oui ! je vous dois tant. Mais vous préférez simplement l'ignorer....
L'ignorance est douteuse surtout lorsqu'elle émane de votre part...!
Je pense que ma sincérité fera l'écho dans un sombre et long couloir....
Sincérité qui se voit coupable. Coupable de quoi au juste, puisque justifiée ?


 

Largué ? Dois-je admettre que d'incompréhension vous en êtes les champions...?
Non ! Puisque je me réconforte d'un rien. Mais puis-je poursuivre dans cette lancée...?
Suivre tout en acceptant mon franc-parler qui se devait d'être digne de liberté....
Liberté ne s'en prive. Puisque je m'adresse à un mur, un mur bétonné par la dérision.

Ma lassitude se voit servir sur un simple plateau....
Le rideau tombe : là où règne l'indifférence qui n'a pas de prix...!
De là haut, ricanez comme bon vous semblera.  Mais moi, non, je ne m’en réjouis....
Et profondes blessures ne guérissent : je m'incline et vous tire mon chapeau.

L'émotion prêche et demeure, mais elle ne peut accepter vos caprices.
Déporté par la dérision, je ne cherche même plus à vous comprendre....
Pourtant, l'émotion demeure tant elle a recherché, mais se perd dans les méandres....
Sur l'inspiration spontanée pleurent ces mots sincères qui craignent vos sévices....

 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 29 Avril 2009
Condé sur l'Escaut

22:30 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

27 avril 2009

LE CIEL NOUS BÉNIT

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De par nos étreintes et nos confidences, le Ciel nous bénit....
Aussi en rapport à nos prières, nous ne devons plus craindre....
Les craintes ne sont plus d'actualité. Seule, la maladie peut se plaindre....
Aies confiance, mon Amour : d'attentes et de pleurs, nous avons appris.


Appris que l'essentiel demeure en nos sentiments réciproques....
Compris que nos larmes sont respectables et nos cœurs vulnérables.
La prudence exige que nous soyons prêts. Prêts pour découvrir de ce monde impitoyable
Que notre Amour est digne d'être vécu, où les moqueries ne seront plus que glauques.


Le franc-parlé dérange. Mais ô combien l'on s'en dispense...!
Nous franchissons un point des plus importants où nos pleurs ne se doivent....
Et de rires nous en privent. Car, à force d'aimer que nos doigts se croisent....
Oui ! pour espérer davantage puisque nos étreintes n'en sont que récompenses.


Et si notre franc-parlé se voit, à tort, soumis à des conditions...!
Que celles-ci ne s'étranglent et puissions-nous, main dans la main, aller de l'avant.
Et louanges nous couronnent puisque, béni, notre Ciel ne se voit plus dérangeant....
Dérangeant aux regards d'autrui. Et les rumeurs vont courir, là, où naît notre passion.

 

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JACQUES DÉSIRÉ
27 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut

22:55 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

23 avril 2009

AIMER SE CONJUGUE À DEUX....

Vous et moi, connaissions la série : “Traque sur internet”.
Non loin de l'imagination, ce jour, je dois accomplir un sérieux devoir :
Celui de servir et d'honorer tout l'Amour qui vibre. Auquel je veux croire....
Car vouloir ne se suffit et d'y croire : c'est admettre et s'en montrer honnête.


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Ne devrais-je rajouter que le courage demeure en soi une grande vertu...?
Et pourquoi cette réflexion ? Simplement pour approuver l'ouverture de l'esprit....
Puisque plus souvent livré à des interrogations et, souvent, contraint d'étouffer mes cris....
Enfin, je me retrouve et me surprends devant la délivrance qui me sourit, puis me met à nu.

 

En dépit du mépris devant lequel je ne peux m'incliner : je me rebelle toujours....
En dépit des regards incompris, mon ciel s'insurge. Là où siègent tous mes rêves,
Rêves devenus réalités. Ô combien de ruses et subterfuges que jamais ne m'achèvent....
Que vouloir le vivre et l'annoncer, où d'un toit la menace serait à l'ordre du jour...!

Trêve aux plaisanteries ! De cruauté : j'ai compris.... De loyauté : j'ai donné et m'abandonne....
Et ne vous en étonnez pas : soyez heureux pour moi, et criez la joie qui vibre dans mon cœur....
En ce cœur où croît mon Amour.  Ce Cœur qui bat à un rythme fébrile où se fertilise notre demeure....
Demeure où la raison surpasse la réalité, où toutes fictions ne seront comprises, où la grâce raisonne.


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D'attente, crierais-je en une névrose ? Non, ce n'est pas le cas. J'ai bien aimé les 47 roses....
Un cadeau auquel je ne m'y attendais. La prunelle de mes yeux larmoyants, beaucoup je te dois....
Fleuves et rivières en déversent dans les océans, et de promesses n'ai-je su te comprendre, mon roi...?
Distantes nos âmes se sont parlées, et confiance n'est soumise. Mon roi, tu as eu raison. Et t'aimer..., j'ose.

 

 

Clamer son innocence ? Mais envers qui ? Et envers quoi ? Et qui voudrait en mourir...?
Douleurs, ne vous sauvez pas. Vous avez joué longtemps avec moi : en suis-je le condamné...?
Non ! puisque je vous confie mes volontés. Mais d'Amour et d'attente, combien ai-je proclamé...?
Que l'Amour soit flatté, et pour ce même Amour, que véhémence puisse enfin ce jour me sourire.

 

De soupirs ? Je n'en veux. Puisqu'Aimer se conjugue à deux et se doit d'être....
Souffrir se fâche de ce que le souffle n’est qu'une caresse. Et pourtant, j'en ai douté....
La sagesse est de mieux comprendre cette audacieuse douleur qui me doit vérité....
Subir pour apprendre de celle-ci que l'Amour ne me lâche, et floraison ne peut comparaître.

 

JACQUES DÉSIRÉ
23 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut

22:26 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

RENAISSE À NOUVEAU L'ESPOIR

Une simple consonne : R, pour renaître et pour accepter la reconnaissance....
Oui ! renaissance d'une vie, aussi de l'amour qui craint souvent l'infidélité.
Et pourquoi règne donc celle-ci ? Si l'espérance est l'élan d'évidentes vérités...!
Le doute accuse les efforts qui se défendent, puisqu'ils réfutent à tort et d'aisance.

Une parcelle de bonheur qui s'offre à nous, mais en demeure prisonnière....
Fleurs de saison : des roses. Elles sont d'or à mes yeux, et à celui qui me les a offertes....
Pleure sans raison, puisque l'espérance nous unit. Et, d'envie, police ne déserte....
Quelle est cette passerelle qui ne se prive des coups de celui devenu mon adversaire ?

Pourquoi devons-nous encaisser sans broncher toutes les embûches qui entravent notre chemin ?
Pourtant, plus honnête n'existe. Quelles seront les nouvelles épreuves et en faire ainsi front ?
L'innocence a son prix, mais à quel titre ? Puissions-nous ouvrir ce chapitre devant la raison....
Et raison plaidera en notre faveur. Où un fervent espoir est à l'attente de détruire nos chagrins.

L'Amour est impatient de nous voir vivre libres et, aussi, d'en ignorer les déboires....
Des au-revoirs en subsisteront. Et combien même l'avenir se projette droit devant....
Ce devoir d'accomplir ensemble et d'en surpasser la mouvance de nos tendres élans....
Oui ! ce droit pour unir nos sentiments que nul n’en ressentira le besoin de décevoir.

Ne me dites plus rien. L'Amour sera notre nouveau départ.....
N'écoute que tes sentiments, et ne crains jamais pour notre avenir....
Contrarier des refrains qui gouvernent notre vie et le besoin de consentir....
Nos cœurs vibrent et ne peuvent en rire là où renaît à nouveau l'espoir.

Jacques CORBEHEM
Le 23 Avril 2009
Condé sur Escaut

01:11 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

18 avril 2009

L'ENFANT PLEURANT

Je me retourne pour fuir certains regards....
Pourrais-je te confier, un beau jour, toutes mes angoisses...?
Non ! la paresse n'y est pour rien et demeure dans cette paroisse ....
Des mots simples, parce que mon cœur se protège des coups de poignard.


Une sortie nonchalante et d'ambulance, puisqu’imposée par le corps médical....
regard.jpg Mais loyale reste mon âme qui, pourtant, ne peut comprendre ces regards démodés....
Car, de très haut, tombent les moqueries et méchancetés auxquelles ne suis-je préparé...!
À mon insu, mes yeux s'élèvent vers le Ciel. Et naissent des formules devenues machinales.

 

Ne devrais-je les détester, ces regards persécutants ? Il n'en est rien...!
Ne puis-je fuir et déballer mes vérités qui se lâchent dans une salle d'attente
Sans en soustraire le moindre mot puisque, par nature, celles-ci restent confiantes....
Mon âme cache ses larmes pour rester digne, tout en écoutant une musique me berçant au loin.

 

Évitant ainsi d'écouter les médisances, qu'hélas, je ne peux taire....
Pourtant je suis ouvert à tous dialogues qui ne sont, étrangement, qu’insultes,
Incultes et méprisantes. Mais ne m'en préserve au-delà du printemps qu'adulte,
Adulte par mon âge qui me rend sage : je ne suis qu'un enfant pleurant son calvaire.



evasion.jpg
Il est vrai que d'un ailleurs je rêve. Mais ne serait-ce qu’un besoin d’évasion...?
Non : tricheur je ne suis. Mes dialogues souvent manquent à l'appel des au-secours....
D'aimer ne suffit : il faut passer à une autre vitesse pour refaire le chemin de retour,
Se nourrir de rêveries, pour toi mon amour, pour oser te séduire et crier sans illusions.

 

Bien que règnent les Amours indécis, je me surprends toujours ....
Ma main se tend depuis si longtemps que la peur vient m'étreindre....
Et de liberté privée, je retiens l'impossible qui ne peut me plaindre....
Et d'incertitude, je plonge dans l'univers inaccessible où s'interrogent mes Amours....

 

ACQUES DÉSIRÉ
18 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut

23:13 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

16 avril 2009

LES CHAGRINS CONTAGIEUX....

Avec un regard si différent et, tant apprécié que les saisons m'inspirent....
Malgré la dévotion qui est mienne : j'admets ce jour toutes mes erreurs.
Bien que celles-ci, hélas, ne soient comprises par les bourreaux du Cœur.
Seul, votre mépris en est juge et, auquel je n'adhère. Pour l'heure, je respire.....


censure.jpg

 

Et je soupire devant la censure que de droit Dailymotion, à tort, s'octroie....
D'évidence, je suis aux abois et pour cause....  Le grabataire se défend.....
Puisque plus souvent assis sur mon fauteuil roulant et de doute se refusant....
Oui ! le fait de rester cloué au lit me déplaît. Le malade que je suis en est roi.


 

 

Le malade s'oppose : puisque harcelé de droite et de gauche, je fais appel....
Au petit réveil, lorsque la nuit me l'accorde, car souvent, sans dormir, je prie....
Plus proche de l'Éternel que cela ne peut être censuré. Et j'accuse, non l'insomnie
Mais des cloches qui, pour certains, vont déplaire et que vous demeurez dans mon ciel.


Le ciel Céleste qui célèbre l'éternité aux travers de ces quelques mots d'amour....
L'Amour qui se doit d'être vécu pour tous et qui se respecte comme il se devrait....
Le devoir de chacun : méditer sur celui-ci et, non le discriminer comme jamais....
Trois comas m’ont suffi et m'ont appris.... Et, il serait honteux de blâmer les toujours....

lune.ciel.mauve.jpg

Les toujours en demeurent, la main dans la main. D'amour je veux vivre....
Et les mains pour se réchauffer le cœur puis-je en accepter le Bonheur...!
Les lendemains se succéderont et personne n'en deviendra le profanateur....
Le besoin de vivre l'éphémère qui se meurt et s'incline de droit pour survivre.

 

 

Sans aucun regret s'écrivent et se gravent ces mots sur une blanche page....
La poire que je suis, est juteuse et conforme aux vendanges des fruits de l'Amour....
Les vendanges précoces de Septembre. Et pourtant, d'attentes, je pleure en retour....
Mes larmes ne sont pas à vendre. J'en reste curieux sur le plus beau visage....


Et, pantois, je demeure devant la censure qui ne panse aucune des mes blessures....
Et grand roi n'êtes-vous donc devenu pour juger ainsi nos sentiments et notre labeur ?
De censures ne vous étouffent car associés à ces mots : puis-je commenter le bonheur...!
Et celui-ci reste de charme et, vous, pilier de la condescendance, pleurez donc la censure.

cœur-brisé.jpeg

La censure qui n'a aucun sens au regard d'autrui ainsi qu'à mes yeux....
Meurtrissures blessent qu'au détour, nombreux seront mes amis peu soulagés....
Couvertures pour venir au secours des moqueries et rumeurs plus qu'enchantées....
Désormais, la poire ne cessera d'écrire et négligence pleurera des chagrins contagieux.

JACQUES DÉSIRÉ
16 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut

22:39 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

13 avril 2009

TOI, MON BEL AMANT....

houx.jpg

 

Par un soleil honorable, mon âme et mon cœur se sont confrontés....
Toi, mon ami, tu as su m'écouter : depuis j'en deviens presque fou....
Non par besoin d'une ombrelle. Puisses-tu venir et m'offrir du houx...!
De ce houx, si symbolique à nos yeux, dépendra ce don et ce besoin d'aimer.

 

 

Puisque se sont rouvertes mes paupières, et bien grandes, tu n'étais pas imaginaire....
C'est ce contraire qui nous confirme : qu'après de longues confidences et bavardages,
Ta vie, et aussi la mienne, peuvent et se doivent respect tout en rejetant notre naufrage....
Puissions-nous ce jour vivre tous les deux, bercés d'illusions, pour tout réapprendre de l'Univers.


Mains.réunies.jpgL'Univers peut se plaindre...!

Ainsi que le bonheur envahisse et embellisse nos tristes vies....

Triste de par de tout ce qui se passe au travers de celui-ci

et, sur lequel s'apitoient toutes mes larmes....

Par un Vendredi spécial, nos propos ont appris des promesses

et nos yeux en restent sous le charme....


L'envers d'un décor qui, sans regret d'un regard tout autre,

de par nos étreintes, j'en demeure indécis.

 

 

Confidences, tu as eu raison.

Par la persévérance et l'endurance, deux cœurs sont devenus complices....


Et se meurt l'indigence.

Nait, et se profile à l'horizon sous un regard si différent mais ô combien précieux,


Sous nos silencieux discours, l'Amour.

Il a compris et se montre bouleversé de par ses mots doux et audacieux....

De doléances et de pleurs dans tes bras tu m'as serré :

en cet instant précis, j'ose et m'interroge, mais de délices....

 

Ce vendredi fût pour moi divine surprise, ô combien inattendue : je t'en remercie....
Nos échanges et nos baisers se gravent dans ma mémoire, et non dans un grimoire....
Une histoire voit le jour : d'Amour je m'épuise sans retenue et, dès lors, se brise le miroir....
Le miroir de ma tristesse qui m'engage. Et d'intuition, toi mon bel amant, avoue et apprécie.



JACQUES DÉSIRÉ
13 Avril 2009
Condé sur l'Escaut

22:51 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie