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23 avril 2009

AIMER SE CONJUGUE À DEUX....

Vous et moi, connaissions la série : “Traque sur internet”.
Non loin de l'imagination, ce jour, je dois accomplir un sérieux devoir :
Celui de servir et d'honorer tout l'Amour qui vibre. Auquel je veux croire....
Car vouloir ne se suffit et d'y croire : c'est admettre et s'en montrer honnête.


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Ne devrais-je rajouter que le courage demeure en soi une grande vertu...?
Et pourquoi cette réflexion ? Simplement pour approuver l'ouverture de l'esprit....
Puisque plus souvent livré à des interrogations et, souvent, contraint d'étouffer mes cris....
Enfin, je me retrouve et me surprends devant la délivrance qui me sourit, puis me met à nu.

 

En dépit du mépris devant lequel je ne peux m'incliner : je me rebelle toujours....
En dépit des regards incompris, mon ciel s'insurge. Là où siègent tous mes rêves,
Rêves devenus réalités. Ô combien de ruses et subterfuges que jamais ne m'achèvent....
Que vouloir le vivre et l'annoncer, où d'un toit la menace serait à l'ordre du jour...!

Trêve aux plaisanteries ! De cruauté : j'ai compris.... De loyauté : j'ai donné et m'abandonne....
Et ne vous en étonnez pas : soyez heureux pour moi, et criez la joie qui vibre dans mon cœur....
En ce cœur où croît mon Amour.  Ce Cœur qui bat à un rythme fébrile où se fertilise notre demeure....
Demeure où la raison surpasse la réalité, où toutes fictions ne seront comprises, où la grâce raisonne.


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D'attente, crierais-je en une névrose ? Non, ce n'est pas le cas. J'ai bien aimé les 47 roses....
Un cadeau auquel je ne m'y attendais. La prunelle de mes yeux larmoyants, beaucoup je te dois....
Fleuves et rivières en déversent dans les océans, et de promesses n'ai-je su te comprendre, mon roi...?
Distantes nos âmes se sont parlées, et confiance n'est soumise. Mon roi, tu as eu raison. Et t'aimer..., j'ose.

 

 

Clamer son innocence ? Mais envers qui ? Et envers quoi ? Et qui voudrait en mourir...?
Douleurs, ne vous sauvez pas. Vous avez joué longtemps avec moi : en suis-je le condamné...?
Non ! puisque je vous confie mes volontés. Mais d'Amour et d'attente, combien ai-je proclamé...?
Que l'Amour soit flatté, et pour ce même Amour, que véhémence puisse enfin ce jour me sourire.

 

De soupirs ? Je n'en veux. Puisqu'Aimer se conjugue à deux et se doit d'être....
Souffrir se fâche de ce que le souffle n’est qu'une caresse. Et pourtant, j'en ai douté....
La sagesse est de mieux comprendre cette audacieuse douleur qui me doit vérité....
Subir pour apprendre de celle-ci que l'Amour ne me lâche, et floraison ne peut comparaître.

 

JACQUES DÉSIRÉ
23 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut

22:26 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

Commentaires

Je n'ai de cesse de lire tes poèmes car j y vois, surtout les derniers, de l'amour, oui de l'amour, toi qui en avait à revendre. Et là, je sais que tu va pouvoir donner de toute ton âme ce que tu as refoulé, depuis si longtemps. L'amour à deux, c'est le mieux que je pouvais espérer pour toi, car ton cœur, rempli de tendresse et de douleur à la fois, va pouvoir se reposer sur un amour naissant, dont je suis pleinement confiante en toi pour avoir enfin le bonheur auquel tu as droit. Gros bisous, mon grand ami Max. Excuses-moi, mais je n'ai pas encore l'habitude de dire Jacques. Grosses bises avec toute mon amitié.

Écrit par : Marie-Thé | 26 avril 2009

De tout cœur, je te remercie, mon amie. Notre grande amitié est pour toute confidence. Tu peux t'adapter et je te propose de m'appeler par mon prénom.
Avec tous mes remerciements, Marie-Thé, je continuerai cette recherche éperdue de l'Amour.
Ton soutien m'est précieux. Gros bisous. Jacques

Écrit par : Jacques CORBEHEM | 26 avril 2009

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