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25 mars 2013

LA FRONTIÈRE DES INTERDITS

L’oubli effraie la lune.
La nature se doit de faire son travail.
La vanité a trouvé ses failles
De retour, le soleil fera se dissiper la brume….


Le deuil est lourd à porter.
Mes larmes ont un parfum de rose.
Le vent s’octroie une pause.
Même les étoiles chercheront à me guider….

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La joie se doit de pétiller.
Le vent a lustré le cristal du silence.
Me sera hostile la déchéance.
Le ciel peut comprendre que mon âme est blessée….


Mon Amour, je me sens perdu.
Les mots justes illuminent notre chambre.
Ne servent à rien les esclandres.
Autrefois, les bœufs servaient à tracter les charrues….


Le soleil nous fait un clin d’œil. 
Les nuages nous ont concocté un concert.
Oh ! Ce spectacle fût extraordinaire.
Les cieux chantent afin que je fasse mon deuil.


La fleur des adieux me fait pleurer.
Je ne peux franchir la frontière des interdits.
Je déplore ô combien le chant de l’oubli.
La terre de vérités qu’est mon cœur devrait se lâcher !

poésie


Toujours, mon amour, je t’aimerai.
Les lueurs printanières ont tant à m’apprendre.
La lumière du bonheur ne peut attendre.
Mon Amour, que les colombes du monde prônent la paix !

Jacques CORBEHEM
Le 25 Mars 2013
Condé sur Ecaut

00:47 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

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