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19 avril 2012

LES PARFUMS DE LA VIE

Des nuages bercent le temps.
Le soleil attend que je lui sourie.
Les giboulées du moment m'ennuient.
Même l'hiver poétise avec le printemps....

Maman, ce ciel veut nous sourire.
Des bergers veillent sur leurs moutons.
Les fleurs des montagnes pousseront.
Même le parfum du destin viendra nous séduire....

Les oiseaux chantent leur joie.
Maman, le soleil aime les fleurs.
L'allégresse, je la lis sur ton cœur.
Même le souffle du vent est aux abois....

Tu sais, la vie est un étrange défi.
Les aveux de mon cœur restent nobles.
Mon Amour, ta tendresse me comble.
Ô combien je t'aime, toi, l'homme de ma vie....

D'ici peu, toi et moi, nous serons réunis.
Le ciel alors pourra comprendre nos émotions.
La fenêtre du bonheur s'ouvrira sans hésitation.
Les sentiments de notre Amour ont tant mûri....

Nous avons bravé les tempêtes.
L'amour est la plus belle des prophéties.
Ces strophes sont les fleurs de notre prairie.
Jamais ne s'est plainte notre précieuse planète....

Des nuages ont épousé le temps.
Mon Amour, t'aimer fait mon paradis.
Je poétise alors avec les parfums de la vie.
Même le soleil a entendu les préludes du vent....

Jacques CORBEHEM
Le 19 Avril 2012
Condé-sur-Escaut

01:32 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

12 avril 2012

AU CŒUR DU RESPECT

Le vent vient saluer le soleil.
Un oiseau m'apporte une branche de buis.
Depuis, l'immensité du ciel s'attendrit.
Ô combien la marque du respect me réveille....


L'amour régit ma vie.
Des nuages sillonnent le monde.
Les fleurs du respect sont fécondes.
Que le soleil puisse embraser les maladies !

poésie



Cet oiseau est monté sur scène.
Il m'a offert ce buis paré de sentiments.
Au cœur du respect, me charme le temps.
Mes larmes sont devenues le refrain d'un poème....


Un vent léger est venu me caresser.
Le ciel veut découvrir ces mots qui perlent.
La rivière des cœurs sera faite de miel.
Dès lors, les amoureux pourront se promener....

poésie


Mon Amour, sans toi, je m'ennuie.
Mais cet oiseau veut voir mûrir notre histoire.
Nos prières ne seront jamais dérisoires.
Même ce buis de lumière survivra à tous les défis....


Je devine alors les volontés du soleil.
Il voudrait qu'on se blottisse dans ses bras.
Chut ! Il me susurre à l'oreille être le Roi.
Stupéfait ! Je poétise avec les mystères du ciel....

Les arbres se vêtissent d'une belle robe verte.
Mon Amour, tes yeux sont de précieux diamants.
Au cœur du respect, écoutons le flamenco du vent.
Puisse cet oiseau venir panser nos plaies ouvertes !

Jacques CORBEHEM
Le 12 Avril 2012
Condé-sur-Escaut

01:27 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie