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27 mai 2011

LES MÉANDRES DE LA VIE

Le vent a soufflé sans retenue.
Et les arbres se mirent à danser.
Le soleil fera blondir les épis de blé.
Pour toujours, la terre en restera émue....

 

Elle subit la force des éléments.
Puis Dame nature lui fait un esclandre,
Et d'un volcan naît un nuage de cendres.
Mais la terre se fait accuser cruellement....

poésie

 

Mon bel Amour, elle aime tout le monde.
Des éruptions, elle n'en est pas responsable.
Seule la puissance des éléments est coupable.
C'est là que notre terre admet haïr les bombes....

 

 Les méandres de la vie, nous les refusons.
Le désespoir du monde peut nous être fatal.
Mon Amour, notre nuage, lui, est bondé de pétales.
Depuis, la terre et notre flamme percent à l'horizon....

poésie

 

Le vent a soufflé sans aucune retenue.
L'espoir et le bonheur sont indissociables.
Seule la moisson des blés sera négociable.
Et voici comment mon âme se met à nue....

 

Le soleil nous reviendra.
La peur a fait perler la poésie.
L'amour lance un appel à la vie.
Pour conclure, je croise les doigts....

 

Mais le ciel nous a reconnus.
Notre nuage fût ô combien perturbé.
Mon Amour, invites-moi à danser.
Pour toujours, la terre en restera émue....

Jacques Corbehem
Le 27 Mai 2011
Condé-sur-Escaut

02:30 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

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