14 février 2013
LES PORTES DU CIEL
Le soleil aime son rôle.
Hélas, je ne peux qu’imaginer les couleurs.
Le respect est un nid d’honneurs.
Est à même de me surprendre un oiseau qui me frôle….
Je poétise alors avec le ciel.
Dieu me donnera probablement son accord.
La sensibilité me tuera sans remords.
Que m’enlacent les nuages pour trouver le sommeil !
La sérénité m’ouvre enfin ses portes.
L’indulgence n’est qu’une première approche.
À une belle étoile, mon cœur s’accroche.
Que, dans ses hésitations, les saisons ne ripostent !
Aimer reste ma priorité.
L’amour m’habille de sa lumière.
Le bonheur est une croisière.
Seuls les obstacles pourront devenir meurtriers….
Le ciel est immortel.
Viennent d’éclore les fleurs de vérité.
De l’harmonie naît la complicité.
Mais ô combien l’amour se doit d’être éternel….
Mon amour, ta joie fût sans limite.
La lune aime les amours clandestines.
L’indulgence n’est plus orpheline.
Saches que les portes du ciel me furent interdites….
Le soleil prend son rôle au sérieux.
Mais je me dois de savourer ce beau spectacle.
Tu sais, la vie en soi est un miracle.
Que l’encre du bonheur n’explore plus jamais les adieux !
Jacques CORBEHEM
Le 14 Février 2013
Condé sur Escaut
23:34 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
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