27 avril 2009
LE CIEL NOUS BÉNIT
De par nos étreintes et nos confidences, le Ciel nous bénit....
Aussi en rapport à nos prières, nous ne devons plus craindre....
Les craintes ne sont plus d'actualité. Seule, la maladie peut se plaindre....
Aies confiance, mon Amour : d'attentes et de pleurs, nous avons appris.
Appris que l'essentiel demeure en nos sentiments réciproques....
Compris que nos larmes sont respectables et nos cœurs vulnérables.
La prudence exige que nous soyons prêts. Prêts pour découvrir de ce monde impitoyable
Que notre Amour est digne d'être vécu, où les moqueries ne seront plus que glauques.
Le franc-parlé dérange. Mais ô combien l'on s'en dispense...!
Nous franchissons un point des plus importants où nos pleurs ne se doivent....
Et de rires nous en privent. Car, à force d'aimer que nos doigts se croisent....
Oui ! pour espérer davantage puisque nos étreintes n'en sont que récompenses.
Et si notre franc-parlé se voit, à tort, soumis à des conditions...!
Que celles-ci ne s'étranglent et puissions-nous, main dans la main, aller de l'avant.
Et louanges nous couronnent puisque, béni, notre Ciel ne se voit plus dérangeant....
Dérangeant aux regards d'autrui. Et les rumeurs vont courir, là, où naît notre passion.
JACQUES DÉSIRÉ
27 AVRIL 2009
Condé sur l'Escaut
22:55 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
Commentaires
Pour toi mon Amour, Gros Bisous en ton cœur. Jacques
Écrit par : Jacques CORBEHEM | 30 avril 2009
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