01 juin 2009
LES LENDEMAINS INATTENDUS....
Réunis pour cette Pentecôte amoureuse qu'un Ciel flamboyant a béni....
Enfin, je compte sur toi, car je t'ai rencontré, mon tendre doux et bel Amour....
Mais les heures se surprennent à pleurer pour penser déjà à ton retour.
Qu'en tombent nos larmes sous nos paupières où nos cœurs se sont conquis.
Quelques nuages se sont montré tout en refusant les orages....
Des orages accusant les secondes qui t'éloigneront loin de moi....
Saches que tu es le bienvenu dans ce nouveau monde auquel je crois.
Un Ciel heureux nous a reconnus. Où toi et moi accepterons l'Amour en héritage.
Nul besoin de satin car notre bonheur se réconfortera dans la simplicité....
L'héritage de notre vécu nous a tant apporté et nous en sommes si convaincus.
Ainsi notre Amour se rassure des attentes fredonnant les lendemains inattendus....
Et surprise se surpasse à comprendre les mots qui n'ont rien à nous prouver.
Ma douceur : qu'à jamais ta chaleur et tes mots tendres ne se préservent....
Et je te susurrerai à l'oreille les mots plus lucides que tu aimes entendre....
Ces mots, je les pense si fort que nos âmes se devront de les défendre....
Nos cœurs se plaisent à s'aimer. Et raisonne l'Amour n'épuisant ces réserves.
Limpide est l'Amour que mon cœur veut te témoigner....
Rien ne se laboure si l'espoir ne grave davantage ses sillons....
Ne pleure plus, mon Amour, car l'élégance épouse nos raisons....
Nos peines et nos joies sont lucides, et approuvent ce besoin d'Aimer.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 01 JUIN 2009
Condé sur l'Escaut
17:36 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
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