27 novembre 2012
LES FUTURES MOISSONS
Le monde vit ses dernières heures.
En vain, c’est ce qu’on voudrait nous faire croire.
Mon Amour, aies toujours foi en notre histoire.
L’Éternel entendra les notes du battement de nos cœurs….
La terre serait perdue sans nous.
Tel un refrain, le vent nous chante l’espoir.
Ô combien les gens craignent le noir.
Fort heureusement, le soleil sera toujours parmi nous….
Dieu ne s’est jamais endormi.
Tel un regard, des nuages nous le prouvent.
Amoureusement, le monde se retrouve.
Les moissons de la raison demeureront nos amis….
Les drames vivraient-ils leurs dernières heures ?
L’incompréhension des amours reste meurtrière.
Très sentimental, le soleil nous offrira sa lumière.
Dans nos yeux, notre terre devrait y lire le bonheur….
Maman, le ciel observe les saisons.
Réel, le bonheur se doit de protéger les gens.
L’azur qui renaît écrira son propre roman.
J’en pleure de joie pour y faire danser ma raison….
Des montagnes veulent s’embrasser.
Le champagne du pauvre coulera à flots.
Même le temps s’attendrira des bravos.
Les chants contraires pourront ainsi s’éloigner….
Mon Amour, notre terre est ambitieuse.
Désormais, tu sais qu’il fait bon vivre avec toi.
Serres ma main ! Humons les fleurs des bois.
Ô combien les futures moissons seront prestigieuses….
Jacques CORBEHEM
Condé-sur-Escaut
Le 27 Novembre 2012
01:41 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
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