27 mars 2013
UN MONDE PARALLÈLE
Le soleil du jour est pâle.
Le loup de mer que je suis est aux abois.
Des docteurs se foutent de moi.
Ô mon Amour, les élans de nos âmes s’étalent….
Maman, je ne te cache rien.
J’ai voulu emprunter ton nom de jeune fille.
Les impondérables ne se maquillent.
Qu’en cette Semaine Sainte, l’azur du ciel soit peint !
Les gens ignorent notre vie.
Mon bel Amour, ô combien tu es élégant.
Le chant des aveux est épuisant.
Le bonheur et la passion s’opposent aux insomnies….
Un ange nous a écoutés.
Les vendanges de l’amour nous encouragent.
Dieu nous dit avoir consulté les Sages.
Que leurs réponses puissent venir nous consoler !
Les doutes sont conflictuels.
Je veux braver les mensonges qui m’insultent.
J’aurais bien besoin d’un parachute.
Mon âme s’est retrouvée dans un monde parallèle….
Oh ! me charment les oiseaux.
Dans cet univers, j’y vois des licornes blanches.
Même en montagne perlent les avalanches.
Mon Amour, aurai-je besoin d’un lavage de cerveau ?
Vient de nous parler le soleil.
Mon Amour, je t’aime bien au-delà des mots.
Ô j’aimerais tant qu’on danse le tango.
Ne m’apparaît pas si étrange ce monde parallèle….
Jacques CORBEHEM
Le 27 Mars 2013
Condé sur Escaut
01:07 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
Les commentaires sont fermés.