12 avril 2010
JE RESTERAI BIEN DROIT
Je resterai bien droit, tel un obélisque.
Nombreux sont les secrets des pyramides.
Mon trésor, séchons nos yeux humides.
La lune aime les amours romantiques....
Des cathédrales résonnent les carillons.
Tous les Polonais sont éprouvés par un deuil.
Un drame. Puis d'un arbre tombe une feuille.
Les capitales de chagrin se découvriront....
Les phénix admirent l'alignement des menhirs.
Tout le monde sera surpris de cette nouvelle,
Et les nuages recouvriront le bleu du ciel.
Jamais les oiseaux ne sauront nous mentir ?
Oh ! Entends-tu les cloches de la Basilique ?
Mon Amour, elles nous sont de réconfort.
Les chants et les orgues seront en accord.
Nous sommes sous le charme de cette musique....
La joie illuminera notre conviction.
Nos incertitudes laisseront des traces.
Jamais personne ne pourra prendre ta place.
Et dans nos yeux perlera la compassion....
Ô combien sont gourmands nos baisers !
Le bonheur apprend tout des saisons capricieuses.
Et, confiantes, nos âmes deviendront ambitieuses.
Alors, les étoiles scintilleront, et ce pour l'éternité....
Je m'inclinerai comme la tour de Pise.
Nous rendrons ainsi hommage au soleil.
La vie est précieuse : elle nous émerveille.
Et nos regards resteront sous son emprise....
Jacques CORBEHEM
Le 12 Avril 2010
Condé sur l'Escaut
18:15 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
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