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11 juin 2009

RÉCONFORTER LES LENDEMAINS....

Et je t'aime à en décompter les heures qui nous séparent....
Les silences s'installent sans ignorer le chant des oiseaux....
Le vent s'élance tout en caressant mon cœur, tel ainsi  les roseaux....
Dignement tombent les feuilles dont les saisons s'emparent.

Jamais n'aurais-je cru pouvoir t'aimer autant...!
N'en serait-ce une esquisse que le Bonheur veut m'offrir ?
Que neige en surprendra cet hiver, ne refoulant nos désirs....
Et nous multiplierons les “Avrils” de nos cœurs ne s'épuisant....


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Devant toi, mon Amour, je m'incline en te serrant les mains....
Et je prends ta main pour honorer tout l'Amour que nous éprouvons....
Avec nos alliances, nous scellerons celui-ci en célébrant notre union....
Et nos confidences ont eu patience de réconforter les lendemains.


 

braises.jpg

 

Pour le meilleur des avenirs : longtemps je t'aimerai, mon époux....
Nous ne devrons craindre le pire, puisque perlent nos promesses....
Que ce parfum ne s'évapore pas : son empreinte en sera de braises....
Et l'espoir nous unit pour la vie sans prétendre qu'il en sera jaloux.


En toi seul, et ton Amour, je crois....
Nos larmes ont su se comprendre....
Et prières ont appris et peuvent nous défendre....
Pas l'once d'une hargne, puisque lumières feront lois.

 

JACQUES DÉSIRÉ
11 JUIN 2009
Condé sur l'Escaut

22:33 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

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