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21 mai 2010

L'INDIFFÉRENCE MEURTRIÈRE

Le soleil surplombe notre terre.
De belles rivières viennent de naître.
Des oiseaux frappent à ma fenêtre.
L'indifférence demeurerait meurtrière....

Que ne s'essouffle le battement de nos cœurs.
Mon Amour, écoutons le chant de ces rivières.
Elles s'écoulent sur un nid d'espoirs et de lisières.
Leur message est une lumière reflétant le bonheur....

Je voudrais m'attendrir sur le Mont des Oliviers.
Comme un loup blessé, je traduirai mes prières.
Je hurlerai si fort que j'en étoufferais les misères.
Ô, Seigneur Jésus, jamais je ne pourrai T'oublier..

Ma foi est si poignante. Et j'écris ces mots.
Elle hissera le drapeau de la magnanimité.
Elle s'exprimera toujours en toute légitimité.
Notre joie de vivre fera trembler les paquebots....

La forêt veille sur tous les bûcherons.
Elle est verdoyante d'arbres et de fleurs.
Elle aime accueillir les oiseaux migrateurs.
Dans son royaume naissent les champignons....

Le vent épousera les quatre saisons.
Les volcans ne seront plus une menace.
Les océans voudront qu'on les embrasse.
Mon bel Amour, la lune bercera nos horizons....

Le soleil est venu pour réchauffer nos ardeurs.
Pourtant notre planète a besoin de ces volcans.
Sans eux, nous serions disparus depuis longtemps.
Leur présence fera l’admiration des voyageurs....

 

Jacques CORBEHEM
Le 21 Mai 2010
Condé sur l'Escaut

18:42 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

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