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30 octobre 2009

LE DÉCLIC

Mon tendre Amour, nous vivons des moments exceptionnels.
Tu aimes me rappeler ce déclic que tu as eu en décembre.
Je te confirme : jamais nos alliances ne seront de cendres....
Les nuages s'éloigneront et le soleil resplendira dans notre ciel.

 

 

Ce déclic fût une révélation en nos cœurs.
Certains le savent, et d’autres peuvent l'ignorer.
Les meurtrissures de nos vies ont toutes été surpassées.
S'il subsiste encore une blessure, elle s'inclinera face aux lueurs....

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Le chant des oiseaux est un élan qui enlace le vent.
Il sillonne tous les horizons du monde : il faut savoir le saisir....
Quand la douleur réapparaît, elle ne fait que m'affaiblir....
Pourtant tu viens me réconforter et m'aimer si sagement.

 

 

Je me demande le pourquoi de ces larmes.
Le chagrin ne devrait en aucun cas nous envahir.
Nous connaissons la chance : elle veut nous sourire.
Dès lors se détruiront sous nos yeux toutes les armes....

 

 

Combien tu me manques en cet instant, mon bel Amour !
Si ce n'est déjà fait, nous devrions le proclamer au monde entier.
Ce besoin de te serrer tout contre moi, je voudrais le crier.
Pour l'heure, j'essuie mon visage. Et Vénus veille sur les alentours....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 30 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

03:41 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

28 octobre 2009

LES VENDANGES PRÉCOCES

Le théorème des incertitudes ne soulage pas nos cœurs !
Des médecins affirment que la mélancolie est une pathologie.
Si cela était une erreur ? J'en serais heureux. Ô combien ravi.
Ce phénomène restera un mystère. Tant notre ciel le pleure....

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Une claque s'impose, puisque je remets tout en cause.
Nos certitudes ne pourront jamais être prises en otage....
Les scientifiques font volte face : ce n'est pas un mirage....
Mais combien y a-t'il d'épines dans un bouquet de roses ?

 

 

Il y a longtemps que les théorèmes ont fait leur apparition.
Ils n'engagent que celles et ceux qui en font leur tasse de thé.
Les solitaires acceptent ce langage : il permet de communiquer.
Inventons-nous des codes afin de résoudre nos interrogations....

 

 

Au risque de te surprendre, mon amour, je suis révolté.
Je t'aime au delà du sens profond des mots qui tombent....
Cela ne rassurera en rien le bonheur qui, lui, ne succombe.
Les sillons du temps qui passent vont ainsi se graver....

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Je me retourne, et pourtant, tu n'es pas si loin....
La frustration des amours est un signe : il  veut être partagé.
Ton cœur est une vigne abondante : je ne peux  m'en priver....
Les vendanges furent précoces : elles en sont notre témoin.

 

 

Vers toi, mon bel Homme, je cours pour te sentir....
Le chemin est sinueux, mais je m'en contrefiche....
Ce n'est pas aujourd’hui que je tomberai dans des friches.
J'emprunterai un raccourci. Le soleil ne doit pas le réfléchir....

 

 

Je suis consterné lorsque mes cris sont étouffés à tort.
L'absence des confidences m'enivre : je me sens si seul, hélas....
Tes pas sont partout dans la maison : ils ont laissé tes traces.
Je reste là à pleurer de peur que le soleil nous ignore.

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L'issue est devant moi, et je dois me concentrer.
Non ! Mon Amour, Je ne m'emmêle pas les pinceaux.
La fidélité n'a aucun prix. Ta confiance fait pâlir les tableaux....
Je piaille, tel un oiseau sur une branche venu pour chanter....

 

 

À ton insu, je m'empoisonne avec les théorèmes.
Je connais leurs errances qui me font frissonner....
C'est à tes cotés qu'il fera bon vivre pour respirer....
Je refuse les coups qui ne peuvent résoudre nos problèmes.

 

Cet amas de chiffres me donne le vertige....
Nous lui sommes redevables, mon bel Amour....
Toutes nos inquiétudes illumineront les carrefours....
Les fleurs poussent aussi en hiver : elles sont de prestige.


Jacques CORBEHEM
Le 28 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

23:07 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

26 octobre 2009

LE GESTE D'AMOUR

Mon bel Amour, tu as fait un choix extraordinaire.
J'avoue rester sous le charme de ce geste si élégant....
Le ciel automnal fait ses confidences à l'hiver approchant.
Le compte à rebours défile au rythme du cadran solaire....

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Oui, mon tendre Amour, tu as préféré une perte d'argent
Pour prolonger nos séjours et venir te blottir tout contre-moi.
Que dansent les flocons de neige : ils blanchiront notre toit.
Comme il est merveilleux d'être aimé à ce point où tout se ressent....

 

 

Un geste d'Amour qui, lui, se partage....
Me faudrait-il une autre preuve si l'élégance a parlé ?
Non, mon cœur, la clé du bonheur est à notre portée.
Te souviens-tu des mots échangés lors de notre mariage ?

 

 

Je pense connaître la réponse qui n'offusquera pas la religion.
Même si nous avons entendu des sons contraires, le ciel sourit....
Que prouver face à ces sarcasmes ? En finale, ils en  furent séduits....
Les saisons approuvent les amours qui refusent toute confusion.

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Mon bel Homme, je suis ému comme jamais....
Nos cœurs battent la chamade : nous sommes heureux.
Les louanges d'autrui illumineront ainsi nos yeux bleus.
L'émotion fusionne avec la tendresse : elle nous apportera la paix.

 

 

Tu apprécies peu le fait  que je t'appelle mon tendre Roi !
Pourtant tes gestes et tes choix sont si chevaleresques....
Ta bonté attise ma curiosité : elle ne peut être grotesque.
L'appétit des Amours est redoutable. Mais t'aimer fait foi.

 

 

Les rivières chanteront leurs louanges.
Les montagnes embelliront leur cime.
Aimer son semblable n'est pas un crime.
L'amour est si fragile : il se veut libre et d'échanges....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 26 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

22:57 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

23 octobre 2009

L'ANGOISSE DES AUTOMNES

Un ciel lumineux flamboie notre bel horizon.
Le moral au bas des talons recherche un trèfle à quatre feuilles.
Paraît-il qu'il porterait bonheur ? Alors que la chance l'accueille !
L'angoisse des automnes se confie au delà des maisons.

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Le téléphone ne peut pas répondre aux abonnés absents.
Je persiste à croire qu'il est plus que nécessaire de se parler !
Nul n'en doutera. L'aisance des mots préservera toute intimité.
La faune et la flore servent aux saisons : elles sont en mouvement....

 

Mon Amour, tu me dis que tu vas voir ton médecin : combien, je crains !
Tu en connais la raison : leur appétit est grandiose qu'il en sollicite....
Ce n'est pas moi qui irai leur décerner une médaille : celle-ci se mérite.
Non ! Je ne leur tourne pas le dos. Mes cris furent étouffés, et je les plains.

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Personne n'est à l'aise en observant les feuilles tomber au loin....
La mouvance des saisons nous attire, telles les marées d'équinoxe.
Je dois taire certains propos tenus afin d'éviter un tournoi de boxe.
Les vagues océanes me rafraîchiront la mémoire en cas de besoin....

 

Je ne voudrais pas que cela devienne une phobie.
Les rivages découvriront la valeur de mes sentiments....
Les marées effaceront mes sillages dans leur mouvement.
Jamais les clivages en apesanteur ne pourront taire les pathologies.

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Les falaises s'éroderont au fil du temps qui passe.
Le vent emporte avec lui mes meilleurs souvenirs.
L'angoisse des automnes qui se content va s'évanouir....
Je voudrais que la vague des malaises ne laisse ses traces.

 

 

Au grand large, je reste là à t'attendre, mon bel Amour....
Je grave ces instants qui me paraissent si importants.
Que les désirs naissent et demeurent au fil du temps.
Ce froid automnal ne glacera pas mes ardeurs du jour.

 

Le vent a causé des ravages qu'on ne peut lui en vouloir.
Où vont ces paquebots bondés passant au grand large ?
Le temps chante ses louanges : l'oubli reste en marge.
La chance sourit aux rivières qui se fraient un couloir....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 23 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

03:39 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

21 octobre 2009

LE CARREFOUR DES MALAISES

Pourquoi s'effondrer si l'Amour vient soulager nos souffrances ?
Si souffrir devient une priorité, nous courons droit à la catastrophe !
Subir est une malveillance, mais le pire de tout, ce sont les reproches.
Pourquoi ces flots de larmes perturbent ainsi notre existence ?

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Les larmes savent exprimer la douleur que l'on ressent.
Elles peuvent aussi montrer la joie qui émerge de nos cœurs....
Ce n'est pas l'heure des adieux : ils effraient aussi notre bonheur.
La peur n'étouffera pas l'Amour que j'ai tant attendu depuis longtemps.

 

Le temps est venu de se protéger contre les frictions peu loyales.
Elles n'émanent pas de toi, mon Amour, mais elles sont si décadentes.
D'ailleurs, les émulsions sont nuisibles : elles resteront désobligeantes.
Le ciel nous soutient. Et la lune est séduite de voir pleurer les étoiles.

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Mais pourquoi cette nuit les étoiles ont-elles pu saigner ?
Serait-ce la conséquence des marées noires à répétition ?
Ou la pollution qui engendre des maladies sans explications ?
Quoique j’en pense ou que je fasse, la lune a su témoigner.

 

Pourquoi les larmes doivent-elles passer au crible ?
Elles auront du charme à nos yeux, mon bel Homme.
Le carrefour des malaises ne comblera ni la loi, ni personne.
Certains de nos amis nous tournent le dos : cela est pénible.

 

Il est des jours où le courage se montre éphémère....
Il est certain que, sans toi, la vie n'aurait plus rien à m'offrir.
Je te dois tout, mon Amour. Les rêves doivent nous éblouir....
La paresse est une cruauté à faire pâlir les richesses de la terre.

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Nous ne nous sommes pas rencontré par le fruit du hasard.
Il y a des mots qui nous assaillent. Et d'autres pour écrire : “je t'aime”.
Pourrions-nous fermer les yeux sans éprouver la moindre peine ?
Nous découvrirons ensemble les failles d'un monde très bavard....

 

Un monde presque odieux, dans lequel rien n’est acquis.
Je sillonne avec ardeur tout ce qui entoure mes horizons.
Je n'entends que le silence qui vient ombrager ma conviction.
Mon clavier est humide. Et timides deviendront mes nuits.

 

Les bavardages frivoles sont des offenses envers nos cœurs....
Les mots qui blessent ne seront jamais un port de plaisance.
Ils se réjouiront de nos faiblesses qui trépignent d'impatience.
En cet instant, je fais naufrage. Ô combien alors j’apprécie ta douceur....

 

Mon Amour, je te confie ces lignes, et je te promets un sourire....
Voudrais-je devenir l'assassin acharné de toutes les maladies....
Elles privent tous les gens de vivre heureux.... Alors, je prie.
Tombe la pluie sur mon visage, tel le froid qui, lui, me ferait frémir....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 21 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

23:11 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

13 octobre 2009

LE TEMPS DES CONFIDENCES....

erosion-roche.jpgLes paroles qui blessent à tort n'osent pas prendre leur envol.
Elles sont si riches d'incompréhension que les roches s'en effritent.
Ces roches font partie du patrimoine des éléments qui en ont le mérite....
Et, réduites en poussières, le vent dispersera le tout outre les pôles.


 

Souris-moi, mon Amour, emmènes-moi toujours avec toi....
Parles-moi et confies-toi, mon cœur : je ferai fuir ta tristesse....
Rappelles-toi, mon tendre Époux : tes mots ont fait jaillir la sagesse....
N'oublies jamais que tu es mon univers, celui qui règne et fait foi....

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De ton Amour, je veux vivre, et non survivre....
Tournons le dos aux boniments qui tombent, telles les feuilles en automne.
Celles-ci feront de l’humus dans les bois, que les forêts ne soupçonnent,....
Comme pour l'affaire Dreyfus, un parcours que nous devrions suivre....


 

Ce dimanche, tu as plongé dans les réminiscences....
La peur m'avait envahi : et je n'ai su, et je n'ai pu y faire face.
Non ! mon Amour, jamais personne ne pourra prendre ta place.
L'hésitation affaiblit tout. Pourtant sont bien présentes nos confidences.

 

Mon Roi est brave : ce samedi, il a retiré les mauvaises herbes....
Si tu pouvais en faire autant avec tous les titillants souvenirs ?
Il est des équations que je ne sais résoudre, et c'est peu dire.
C'est un choix que l'on a fait à deux afin d'éviter les proverbes.

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Nous avons un passé quasi identique.
L'école est loin derrière nous. Et pourtant....
Nous pouvons conserver l'âme d’enfant.
Dans tes bras, je découvre que nous sommes des romantiques....

 

Mon Époux, ne tais jamais plus ce qui doit être dit.
Les océans en ont vu des naufragés ! Rendons-leur hommage.
Les lames de fond ont causé beaucoup de ravages, tels les orages....
Je ne t'apprends rien, mon Amour. Je t'aime pour la vie.

JACQUES DÉSIRÉ
Le 13 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

22:59 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

06 octobre 2009

LE TEMPS DES CHAUMIÈRES

Il est loin le temps des chaumières où l'on pouvait tout se dire....
Les chaumières des confidences qui réchauffaient nos cœurs.
Il fait froid, mon Amour. La chaudière allumée diffusera sa chaleur.
C'est auprès de toi qu'il fera bon vivre, et que je voudrais m'épanouir....

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À la loi du plus fort, jamais nous ne nous y soumettrons....
C'est une loi qui me semble absurde, voire même ridicule.
Nos "je t'aime" se confinent et se rassurent auprès des crépuscules....
Des crépuscules qu’observe la sagesse des aurores que nous apprécions.

 

Sans toi, la vie me paraît inutile. Et pourtant, on doit s'en défendre....
S’en défendre contre tous les sous-entendus qui n'ont pas leur place.
Les mots sont parfois d'une cruauté immorale : celle-ci laisse des traces.
Tout se bouscule dans ma tête, et les réponses se font tant attendre.

 

L'hypocrisie est une mayonnaise qui monte très vite : elle persiste....
Cette sinistre hypocrisie devrait prendre le large en acceptant les distances.
Ne trouves-tu pas que celle-ci est irrévérente ? Elle n'est pas une référence.
Évitons d'en débattre, mon Amour. Les fleurs rêvent aussi : elles résistent.

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Je me dois de tout te confier, mon bel Amour....
La médecine me nargue, et les traitements n'aboutissent....
Les conséquences ne seront pas faites de rêves, ni même d'oasis....
Ainsi s'exprime ma douleur. D'ailleurs, je ne loge que dans un faubourg.

 

 

Envers moi c'est le lancement de missiles et de catapultes.
Elles étaient jadis remplies de pierres et de boules de feu.
Leur feu me brûle encore : je n'ose plus fermer les yeux.
Longtemps mes yeux pleureront. Mais je voudrais que cessent les insultes.

 

Ma vie se voit brisée. Et pourtant, tu fais vibrer mon cœur.
Plus rien n'est à prendre. Seul l'espoir reste pour étinceler notre ciel....
Un ciel printanier pour tout l'Amour que tu me donnes, toi, devenu mon soleil....
Le sort qui m'est réservé révèle ta tendresse. Que larmes perlent en douceur....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 6 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

22:30 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

02 octobre 2009

LES MARÉES OCÉANES....

Le temps égraine les souvenirs qui meurtrissent nos cœurs.
Nos douleurs sont révoltées en écoutant le chant de l'ignorance.
Le temps s'écoule, et il n'échappe pas au refrain de l'indifférence....
Cette indifférence est de marbre dans ce monde qui est privé de douceur.

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L'ignorance n'est pas une fleur que l'on sème dans son jardin.
Je ne peux pas céder face à l'indifférence qui croît chaque jour.
Mon Amour, nous ne pouvons pas en rire. Et pleureront les toujours....
Combien sont à plaindre les carrefours qui méprisent les lendemains ?

 

Les mots sont cruels et tombent, telle la pluie qui me réveille.
Si le marbre pouvait s'exprimer : cela ferait plus d'un heureux ?
En quête de vérité, je préfère laisser la parole au ciel nuageux....
Ses paroles seront d'aimer, et de t'aimer, autant qu'il aime le soleil.

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Les moqueries se dandinent, mais elles ne me chagrinent plus.
Dans les couloirs de ma volonté s'éterniseront tous nos rêves.
Les vérités se montrent du doigt, et même d'audace, elles ne m'achèvent....
Même si je courbe le dos, rien ne faiblit. Pourtant celles-ci m'ont reconnu.

 

Aladin exaucerait-il nos vœux sans rien attendre en retour ?
Je frissonne comme jamais en flirtant avec les réminiscences....
Leur marbre me fait froid dans le dos. Et les marées océanes dansent....
Sur chaque arbre, je graverai ton prénom, mon tendre Amour....

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Ces grandes marées ont chanté de vive voix....
Elles n'ont d'emprise que sur les gens passionnés.
Les aurores sont fascinantes, et les conflits ne peuvent pas résister.
La fraîcheur automnale est revivifiante, et l'hiver arrive à grand pas.

 

Je t'envoie des paquebots de tendresse, rien que pour toi....
Ces paquebots clandestins délivreront ainsi tout notre Amour.
La douleur me rappelle à l'ordre, et je lui loue des pattes de velours.
Je pleure comme jamais. Pourtant le fardeau est loin derrière moi.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 2 OCTOBRE 2009
Condé sur l'Escaut

22:56 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie