28 mai 2009
NOS LARMES SALÉES....
Les mots nous paraissent simples et parfois si secrets....
Pourtant tous ces mots simples sortent de nos coeurs....
Dès lors déborde l'émotion ravivant au loin nos lueurs....
Ces lueurs du bonheur atteindront les plus hauts sommets.
Les heures se décomptent tout en nous rapprochant....
Désormais se profile à l'horizon un Amour tant attendu....
Nos coeurs se confient pour ainsi fusionner dans l'absolu....
Où la raison se partage sans ignorer les conflits dérangeants.
Mon Amour, ne te minimises jamais aux regards d'autrui....
Tu as tant à leur apprendre, même à moi qui suis aux abois.
Ensemble, construisons un trône afin que s'asseye mon Roi.
Une tour royale pour toi qui attend la récolte des fruits....
L'amour est un art, un don. Le don d'aimer où l'âme se met à nu....
D'art sont nos sentiments pleurants ce monde peu romantique.
D'aisance sera l'art, si nous vivions là où ne subsistent les critiques.
La récolte des fruits sera abondante, puisque tu m'as reconnu.
Notre Amour multipliera les mois d'Avril, ce mois qui nous a réunis.
Dès lors, j'écouterai les battements de ton coeur illuminant le mien....
Et s'inscrivent dans nos yeux les mots fébriles qui nouent nos liens.
Nos prières sont lumières au regard de Dieu qui décide et nous a compris.
Mutuellement nous avons bu nos larmes salées pour les sécher.
Elles en furent séduites par la simplicité du geste et des mots.
Je t'accueille à bras ouverts où toutes les armes tombent à l'eau....
Notre complicité ne peut être réduite car nos coeurs veulent s'aimer.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 28 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
03:35 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
27 mai 2009
MON GRAND AMOUR....
À René....
Le Ciel nous offrira le meilleur, mon grand Amour....
En retour se construiront de nouvelles passerelles
Sur lesquelles nous pourrions révéler nos merveilles....
Et je t'attendrai pour te confier mes lacunes du jour.
Ô combien seront heureux les crépuscules....
Et les attentes se noueront par nos alliances....
Où de petits riens font obstacle tout en silence.
Dans cet ailleurs les fleurs se dandinent et se bousculent....
Les aurores seront arrosées par la bruine et sa fraîcheur....
Où se conjuguent les "je t'adore" par nos élans et nos câlins....
Sous un soleil de plomb sécheront nos pleurs et nos chagrins....
Et nous y construirons un chateau-fort avec un sable enchanteur.
Auprès de toi, mon Amour, je veux ainsi tout redécouvrir....
Et se montrent les mots dociles que nos cœurs attendent.
Pour le meilleur des mondes seront fertiles toutes nos offrandes....
Les blés sont blonds. Écoutons le fruit du silence qui a tant à nous offrir....
Grondent les orages fébriles qui contemplent les fruits de ce silence....
Où le tonnerre voyage et frappe fort. Là où l'indifférence meurtrit l'oubli....
Celui-ci veut avérer nos sentiments où nos prières s'enlisent et ne s'enfuient....
Ce monde est illusoire. Où Vérité se déguise tout en blâmant les négligences.
Et je resterai toujours auprès de toi mon bel Amour.....
Nos étreintes nous rapprochent là où naît notre passion....
Lucides sont nos cœurs qui se dispensent de toute friction....
Car notre Amour n'épouse la fiction, criant ainsi son ultime recours.
JACQUES DÉSIRÉ
27 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
22:54 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
26 mai 2009
RÉAPPRENDRE À RÊVER....
L'oubli ne serait, ou ne deviendrait-il en soi une paresse ?
La paresse d'affronter son passé pour épouser le présent,
Ce présent qui refoule nos souvenirs ô combien si pesants !
À l'oubli je ne m'adresse. Je siège là où la bonté voit la noblesse.
Je me souviens des soirées et de la chaleur des poêles à charbon....
Nombreux étions-nous, en famille, à nous regarder droit dans les yeux....
Loins des longs hivers d'autrefois. Mais celui de décembre fût rigoureux.
Un rien contrariait nos repas que l'oubli n'en fût servi. Cela était bien bon.
Non à l'oubli. L'oubli qui se pavane souvent aux regards d'autrui.
Oublier son désespoir serait une fracture qui, jamais, ne pourrait guérir.
Régnent les larmes de celui-ci n’arrosant le charme qui cherche à grandir....
Le souvenir pleure l'ennui des paysages qui ne se plaignent des bruits.
De ces bruits, j'accepte et reçois ton Amour....
Je ne peux en rester sourd, et en toi je crois.
Que l'oubli nous charrie ! Car devant toi, je suis aux abois.
Et je te déclare ma flamme. Concept acclamant les toujours....
Des toujours qui veulent épouser pour la vie : car je veux t'aimer.
T'embrasser à ne plus rien entendre.... Seul le pincement de nos lèvres....
S'embrasser pour l'éternité. Là où le regret ne serait qu'un petit lièvre....
Plus proche de toi, mon Amour : je te veux pour réapprendre à rêver.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 26 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
22:34 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
22 mai 2009
MA VOLONTÉ NE SE DÉCIME....
Ne serais-je à vos yeux qu'un simple malade ou une victime ?
J'ai passé mon temps à supporter votre incompréhension.
Et je suis dans l'obligation de me soumettre à une récréation....
Puis, je me rapprocherai des montagnes pour mieux voir les cimes.
Le besoin de crier serait peu dire : puisque son écho ira loin, si loin....
Pas l'écho d'une cloche.... Mais le reproche qui se devrait d'être
Pour ce faire, je confie au corps médical ces vers pour renaître....
Ressaisissez-vous ! Mais ne vous réjouissez du peu et de petits riens.
Les petits riens vous disent : ô combien, je veux vous dire “merde”....
Merde pour votre incompétence qui grandit à chaque rendez-vous.
N'en soyez surpris. Où sage décision acquiesce tous les sales coups.
Les coups bas qui ignorent ma désolation. Et pleurs s'y perdent.
Je dois vous avouer que ce langage n'est pas une coutume en moi.
Serait-ce un nouveau voyage que celui de sombrer ainsi dans le noir ?
Pas un crédit à votre charge où ma confiance ne jouit du fruit du hasard.
Voici ma franchise qui se voit convoitée, vous confiant mon refus et ma foi.
Puisque votre médecine n'en demeure plus qu'assassine....
Notre devoir se devait une mutuelle compréhension qui ne fût !
Celle-ci épuise mon âme. N'en devrais-je encaisser ainsi les abus ?
J'épuiserai les maux qui s'éternisent où ma volonté ne se décime.
Les cimes des montagnes en resteront plus blanches que jamais....
Surprise, mon âme n'acceptera votre négligence qui n'est que dégoût....
Le dégoût du mépris reflétant celui-ci. Où le silence n'est qu'un atout....
Un atout majeur qui se dispense d'en rajouter plus qu'il n'en faudrait.
Ainsi ne clamez votre victoire : puisque j'ai appris de par la maladie....
Appris que toute vie doit se vivre et se protéger en la même occasion....
Jamais ma raison n’épousera les déboires de ma vie qui part en dérision.
Si victoire existe, elle se précipitera auprès de l'Amour qui nous réunit.
Sur une majestueuse montagne, le soleil étincelle et l'Amour m'éblouit....
Le vent vient embrasser nos visages humides de nos yeux larmoyants....
Car nos pleurs et nos larmes deviendront un fleuve pour les innocents....
Par nos étreintes, corps et âmes, se transcendera notre Amour accompli.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 22 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
22:59 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
18 mai 2009
QUE JAMAIS NE S'ÉTEIGNE....
Le désespoir serait-il une succube puisant ainsi notre énergie ?
Énergie privée d'élan. Mais ne serait-ce le privilège du talent ?
Silencieux et sournois talent qui accuse les faits tout simplement.
Code secret où discrétion s'engage de droit à l'ouverture de l'esprit.
Noble est l'ouverture de l'esprit déployant ses ailes pour chasser le refus....
Refus devenant des refuges, ne se réconfortant pas des tumultes et des insultes....
De grâce, montrez-vous plus indulgent ! Vous qui profanez la voix des cultes.
La voix des sages m'apprenant les références où je ne demeurerai qu'un enfant ému.
Ému et blessé, puisque je ne peux me soustraire aux erreurs médicales....
Ce jour, celles-ci ne demeurent que blessures inguérissables et meurtrières....
Ainsi je vous annonce que seul l'Amour occupera désormais mes prières....
Jamais je ne renoncerai à cet Amour. Ou déceptions se réduiraient en ballots de paille.
Que s’épanouissent les fleurs tout en s'élevant vers la lumière....
Où prières sont confuses, mais comprises par toutes les étoiles....
Chariot d'étoiles où se construit notre bonheur plus que crucial....
Et loyales nos âmes récusent les contrariétés qui détaillent nos prières.
Le soleil illumine notre croisière. Que jamais ne s’éteigne cette lumière....
JACQUES DÉSIRÉ
Le 18 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
22:44 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
15 mai 2009
L'HUMOUR SE PLEURE....
Ai-je tort ou le droit de me confier ainsi à mes amis ?
Mes confidences se voient exploser en éclats de rire....
Votre humour me contrarie. Il est certain que je ne peux applaudir....
L'humour est une arme redoutable : telle je la ressens aujourd'hui.
Ce bel humour pour certains est un besoin pour soulager leur angoisse....
Pour moi, il est bien triste d'en arriver à ce stade où l'exploration demeure.
Exploration blessante où je n'ignore en rien de ce qu'en souffrent nos coeurs.
Et le pardon est digne puisqu'il s'en réfère au chant d'un corbeau qui croasse.
La nature est bercée par les chants des oiseaux qui se respectent....
Aussi pure qu'une eau de source qu'on peut boire sans aucune crainte.
Et lacunes ne vous honorent puisqu''elles sont dérisoires et ne sont saintes.
Et l'humour se pleure. Mais d'Amour, je t'acclame où d'un rien je te suspecte.
Démonstratives et majestueuses, les montagnes s'élèvent toujours vers le ciel....
Et tentatives ne vous blessent si le champagne ne pétille sous les lamentations.
Je pleure comme un enfant. Où les lendemains s'inclinent devant votre compassion.
Prisonnières sont mes raisons de vivre pour voir les saisons, là où réside le soleil.
Non François : je ne vis pas dans l'humour car le déséspoir m'a frappé....
Et je reste pantois sur ces mots, car mon destin est pesant de chagrin.
Puis frappe à nos portes : le respect accuse mes chants et ces refrains....
Tu m'as rappelé à l'ordre : alors je déposerai ainsi tous mes regrets à tes pieds.
Lâcheté et plaisanteries sont constamment en désaccord....
Là où cruauté perce à l'horizon mais est en perte d'altitude....
Et la spontanéité des mots se grave sans s'accrocher aux habitudes....
Pourtant celles-ci s'imprègnent là où se déchirent attitudes et réconfort.
Et rébellion contre toutes les citations faisant éloge en référence à l'humour !....
Je reconnais qu'un sourire serait audacieux sous la dite faiblesse de nos larmes....
Bien qu'elles soient incomprises et pleines de noblesse. J'en resterai sous leur charme....
Puisque sourire est parfois plus aisé. Alors j’irai pleurer auprès de lui, toi, mon Amour.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 15 Mai 2009
Condé sur l'Escaut
22:50 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
T'AIMER....
À René....
Après l'orage perce à l'horizon un beau Ciel bleu pour les amoureux....
Les sentiments cheminent nos coeurs où les secondes se plaignent....
Elles accusent les heures qui trainent. Où toutes lumières se peignent....
Et vantent les feuilles confuses que l'orage a surpris : celui-ci est courageux.
Courage est en appel pour ce que je dois te confier....
La peur m'étreint sous un soleil pourtant audacieux....
Et l'audace est une merveille pour moi qui ne suis capricieux....
Puis confiance se promène où, d'aisance, je ne cherche qu'à t'aimer.
T'aimer est un chant où s'épanouissent nos tendres sentiments....
Mon coeur te couronne et t'honore : puisque fertile à notre Amour....
Des refrains complices où réminiscentes sont les flammes en ce jour....
Flammes entretenues par nos coeurs où lueurs étincèlent sous les compliments.
Compliments ô combien respectables puisque se glisse noble vérité....
En me faisant part du retard de ton arrivée, car tu étais resté à quai,
Non, je ne devais m'en inquiéter : aussitôt tu m’as rassuré comme jamais,
Avec ces mots simples où d'aisance se transcendait notre complicité.
JACQUES DÉSIRÉ
15 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
22:29 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
11 mai 2009
LE CRI....
D’habitude, j'encaisse les coups sans me plaindre pour autant....
Ce n'est pas faute d'avoir tiré la sirène d'alarme comme il se devait....
Il est sûr que celle-ci fût ignorée. Et j'ai pour devoir de le conter au plus vrai.
Servitudes en rappel. Devant Dieu, je prie pour atténuer la force du vent.
Oui ! Je dois crier plus fort pour atténuer la violence des éléments....
Je suis en désaccord avec cette vue qui baisse et se revêt d'un brouillard...
Pourquoi devrais-je taire la loi de notre Bonheur et d'un Amour renaissant ?
Quelle est cette loi nous privant de clamer notre Amour emporté par nos espoirs....
Ma vie, si bohémienne, n'a aucun reproche à se faire. Et combien même ?
Rien n’est soupçonnable au regard de Dieu puisque mes prières furent entendues....
Pourquoi dois-je être éconduit, voire menacé, par des faits sous entendus ?
Dénonciateurs : n'en deviendrais-je le fruit des Amours qui conjuguent les “je t'aime” ?
En la même occasion, nos “je t'aime” dérangeraient-ils quelque part notre Dieu ?
Référant à nos prières, quel pardon aurais-je négligé dont les raisons me manquent ?
A Dieu, je m'adresse. Je suis aux abois devant les nuages où compassion se planque....
N'ai-je assez donné pour oser solliciter le meilleur ? Serais-je trop audacieux ?
Je suis au regret d'en décevoir plus d'un. Mais là, j'avoue, que trop c'est trop....
Le cœur grand ouvert, je n'ai jamais cherché à tromper ma joie sur une croix....
Ma croix qui me pèse, puisqu’incomprises mes prières restent aux abois....
Que vertu et dignité se manifestent : le vin se mélange de larmes et d'eau.
Ô mon Dieu, je suis contrarié comme jamais. Et pour cause !
Précieux est l'Amour que je donne sans rien attendre en retour....
Capricieuse journée où j'ai tant à découvrir et à t'offrir mon Amour....
Contagieux sont mes sentiments, et de pardons, je résonne et ose.
Simplicité n'engage que nos cœurs, mon amour, ma douceur....
Dans la complicité, nos larmes sèchent ainsi nos souffrances....
Et les offrandes n'auront de cesse là où siégeront tous les silences....
Obéissantes prières puisqu'elles sont nobles. Et pourtant, j’ai si peur...!
Peur de nos larmes où plus rien n'est à craindre....
Fleurs et lumières éblouiront toute logique légitime....
Flatteurs, nos sourires s'épanouiront au grand large maritime....
Sous l'océan de nos prières, émergera alors le soleil que nul ne pourra éteindre.
JACQUES DÉSIRÉ
11 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
23:10 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
06 mai 2009
SOIF DE T'AIMER
Je te comprends et ressens le besoin d'être. Je reste à ton écoute....
A l'écoute de nos cœurs qui éprouvent et partagent la même passion....
Plus proches, on ne peut. Et pour l'heure, je repousse ainsi toute équation.
Équation dont les surprises sont de taille en décortiquant bien des doutes.
Non ! Le doute ne peut régner. Quoiqu'il se dispense de tout commentaire....
Pourtant ne préférerais-je la finesse qui se veut reine pour mieux t'aimer.....
Les "pourquois" sont de sagesse pour admettre cette vibrante complicité.
Complicité où baignent harmonie et valeurs, nous ne le pouvons plus le taire.
Je voyage dans un univers inconnu....
L'inconnu est splendide tant celui-ci se partage....
Non ! Aux ouï-dires, puisqu'à nos yeux ils font naufrage.
Mes rêves t'ont reconnu. Ils ne se préoccupent pas des sevrages.
Ivresse de cette soif de t'aimer....
Des " je t'aime " à n'en plus voir la fin....
Rien est nuisible. Bien que tu sois loin....
Si paisible, combien tu es présent dans mes pensées.
Ô mon Amour, de toi seul ai-je besoin...!
Puissent les " toujours " en disposer autrement....
Et je cours pour t'aimer. Car tu es mon prétendant....
Un parcours sans faille où les étoiles nous veulent pour témoins.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 6 Mai 2009
Condé sur l'Escaut
22:46 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
05 mai 2009
VAGUES DISCRÈTES....
Une journée si différente et se montre plus qu'exigeante...!
Des idées préconçues où l'Amour a posé toutes ses balises....
Tant ces idées ont marqué les heures qui dansent et s'éternisent....
Puis s'épuisent dans le vertige ébranlé par cette raison dérangeante.
Et pourquoi dérange-t-elle ? Si d'absences elles se justifient...!
Se justifier à travers ces mots, loin des doute : elles sont si confuses,
Puisque les saisons conformes ne troublent la dignité qui s’y refuse....
Refus et déni apprennent où se décline l'urgence en cet instant précis.
Urgence qui te voudrait auprès d'elle, mon tendre et bel Amour....
Urgente délivrance car nos étreintes t'ont encouragé à faire tes valises....
Voir naître pour nous un avenir sans plaintes, et que nos vœux se réalisent....
Admettre et combler nos souhaits où nouvelles épreuves se feront sans vautours.
Des vautours qui rompent le silence. Seuls les regrets puissent les entendre....
Faubourg où la luxure est à l'ordre du jour, dépendant des abus trop tendancieux....
Là, j’affirme qu'un phénix ne peut que nous encourager à nous montrer audacieux....
Ce phénix craint l'alignement des menhirs où le paranormal frappe à n’y rien comprendre.
Pourtant l'horizon est souriant. Puisse-t-il nous soustraire à toute adversité...!
Tant il reste muet sur le chemin du Bonheur où se proclame, par nos cœurs, la joie....
Au cri des mouettes, nos futurs promenades exploreront cette joie, et j'y crois....
De l'océan émergera l'insouciance de notre Amour : vague discrète récompensant notre ténacité.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 5 MAI 2009
Condé sur l'Escaut
(tableau Philippe Lecomte)
22:53 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
04 mai 2009
LA RIVIÈRE DU BONHEUR
Et tombent les larmes sous mes paupières....
Je vous prierai de refermer la boîte de pandore.
Rien n'est plus vrai que l'amour venu en réconfort.
Sous la simplicité des mots, vient ainsi de naître une rivière....
La rivière d'un bonheur naissant et complice par nos sentiments.
Et perce une Lumière : celle brillante et pétillante de tes regards....
Regards perçants de noblesse où l'Amour range les frivolités dans un placard.
Et je te cherche dans le recoin de ma mémoire qui te recouvre de compliments.
Compliments pour cette volonté d'aimer où deux cœurs se sont plaints.
Plaintes comprises mutuellement, puisque dénonçant notre pauvre passé,
Passé lourd de lassitude, mais en pleine quête de découvrir l'Amour ignoré,
Ignoré des fâcheuses habitudes qui, en revanche, acclament celui-ci mais ne le craint....
Larmes que tu as su comprendre et essuyer avec délicate tendresse,
Mon cœur vient pour rassembler nos élans vertigineux et voudrait te remercier....
Torrents de mercis qui n'auront de cesse, prés de toi, mon Amour, ô combien appréciés,
Et se protègent nos larmes sous le charme de nos câlines attentes qui se reconnaissent....
L'Univers n'a plus qu'à se montrer patient des amours complices et naissants.
Et des verres se brisent mais ne demandent et ne recherchent qu'à t'aimer....
Et se meurent traditions où demeurent les additions qui ne traduisent l'humilité....
Où d'humilité s'apprennent mais où ne se plaisent les Amours blessés et complaisants.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 04 Mai 2009
Condé sur l'Escaut
22:40 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie
02 mai 2009
RIEN N'EST DE SABLE....
Quatre sorties..., et l'ignorance te recherche mon cœur.
Pourtant, tu ne pars pas si loin. Et déjà tu me manques....
Soif de mutuelles confidences où le soleil se planque,
Honorant un silence courtois. Et se sèchent nos pleurs.
Ce besoin de te parler, mon Amour, et te sentir plus proche....
Avalanche de mots plus évidents qui se posent sur nos lèvres....
Ô combien indispensables se montrent ces élans bondés de fièvres.
Puis, la porte s'ouvrant, tu réapparais, si confiant. Et à toi, je m'accroche....
Ce prochain lundi sera un jour difficile à vivre pour admettre l'évidence....
Mieux que vérité ne s'en prive, puisque l'avenir se doit de guérir nos plaies....
Audacieuse franchise qui est à l'attente de beaucoup où perlent les tendres secrets.
Secrets dévoilant ton courage. Et dans tes bras je m'écroule, éprouvé par nos souffrances.
Souffrances ne devraient se plaindre, car d'étreintes naît une complicité confidentielle....
Que d'obstacles ne se fâchent. Car, avec toi, tout devient facile et franchissable....
L'impossible ne demeure, mon Amour, puisque de confidences rien n'est de sable.
Sable venu des océans où s'éternisent les rêves qui se doivent un avenir bien réel
.
Aujourd'hui, le bonheur, enfin, ose nous sourire.
En dépit des problèmes, des aurores d'autrefois.
Virtuoses aurores et crépuscules auxquels on croit,
Puisque se rebellent nos cœurs devant tous les soupirs.
Somptueuses et voluptueuses espérances s'écrivent sur une ardoise....
Un amour prodigieux voit le jour. Et d'oubli en ces courts moments de répit,
Puissions-nous, ainsi, s'en montrer dignes et complices, sans larmes en délit.
Que promesses se surpassent et nous surprennent, où nulle empreinte ne se croise.
JACQUES DÉSIRÉ
Le 02 Mai 2009
Condé sur l'Escaut
03:40 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie