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31 août 2006

LES JARDINS DE L'ENNUI

Oh combien je voudrais tant pouvoir ignorer que se fanent les fleurs
Dans les jardins de l'ennui où se cultivent les fruits du souvenir.
Qui s'opposent au repos de mon âme peinée que, par mille lueurs
Reflétantes d'un miroir brisé, ne m'offrent en cet instant qu'un dernier soupir....

Le remords se refuse de passer aux aveux que mon silence en pleure....
Car je sais que la mort est absente, à elle seule je ne veux m'offrir....
La souffrance est une âme vivante, persécutée que l'on peut ressentir
Le moment où décède devant soi, le temps d'un répit, le bonheur....

Qu'engendre le rêve pourchassé par le cauchemar devenu prédateur.
Si ce n'est la peur d'une nuit tourmentée, cherchant encore à te trahir.
Dés lors je me traîne jusqu'à l'aube pour y retrouver, meurtri, mon cœur,
Se louant auprès d'un aurore naissant une vérité noble de vouloir s'épanouir....


JACQUES DÉSIRÉ
LE 31 AOÛT 2006
CONDÉ SUR L'ESCAUT

23:27 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

29 août 2006

SOUFFRIR....

C'est comme un été sans soleil....
C'est comme une vie sans émotion....
Comme un jardin sans verdure, sans fleurs....
Comme une montagne sans neige, sans vallée
Comme un souvenir
Qui meurtrit un cœur....

coquillages.jpg

 

Comme un fleuve
Qui déverse son dernier souvenir à la mer
Sans soleil , sans verdure , sans fleurs....
C'est comme un corps sans vie,

 

 

Sans émotions pour s'en protéger....
Sans jamais pouvoir et en avoir le devoir
Un jour, un soir , une nuit pour ne jamais plus témoigner....
Que " SOUFFRIR "  c'est  s'évanouir puis " MOURIR "

Et pour taire à jamais....
Que c'est une âme qui se meurt.
Que c'est une étoile qui s'éteint,
Que c'est un soleil qui disparaît.....

C'est comme une rose sans aucune senteur....
Qui perd ses pétales à même le sol....
C'est une rose qui n'aurait jamais existé....
Sans crépuscule.... Sans aurore....
Le pire encore.... Souffrir, c'est aussi mourir....


effets-d-optique.jpg

 

Comme une terre qu'on accuse
D'avoir perdu sa lune....
Que cette même lune est soupçonnée
D'avoir assassiné toutes les étoiles.

 

Sans prétendre à une émotion "Sanglotant au jardin des horreurs",
Sans y prétendre le droit d'ériger une stèle
Pour y déverser une dernière Larmes....
Sanglotant au jardin de l'oubli....
Pour y lâcher son dernier soupir....

 

Jacques CORBEHEM
Le 29 AOÛT 2006
CONDÉ SUR L'ESCAUT

23:37 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

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03:56

26 août 2006

L'OISEAU BLESSÉ

oiseau.jpg

 

Voici l'oiseau qui se doit de témoigner de toutes les exclusions.
Je défends la cause oubliée devant votre incompréhension.
Combien j'accuse que, caché derrière la valise diplomatique,
Sont commis des crimes odieux, soucieux de toute politique....

 

La politique de l'autruche qui sème et s’exerce sur son parcours. L'incertitude au travers
De toutes atteintes aux libertés, aux mœurs, qui s'octroient un service des plus pernicieux.
Quelle audace vous acclame ! Vous êtes devenus, de loin, l'ange que j'implorais. Soucieux....
Votre insolence approuve le danger plongé devant nous en ces heures de colère....

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La diplomatie qui se cache derrière ces êtres qui s'accomplissent n'auront jamais pour seul refuge,
Un comportement soupçonnable et combien soudoyant. Que de mensonges : j'en déplore le grand déluge....
Combien d'assassinats commis au nom d'une religion qui se déploie et que je soupçonne ? Depuis, je crie....
Qu'aucun innocent ne meure, ni ne souffre. Et qu'aucun de vos serments ne puisse vous servir d'abri.

 

Depuis, je vois le ciel s'obscurcir de nuages : j'accuse tout acte terroriste
De vouloir détruire un avenir appauvri et compromis. Celui qui, pour tout témoin, moissonne le seuil
De sa terre en jachère, sème la graine de nos espérances abattues par ces odieux artistes
Se prétendant plus forts de nous voir périr, et n’ayant pour regrets de n’emporter que leur orgueil....

 

oiseau.ch.jpg

Si dans la lumière je vous soupçonne, sous l'emprise de votre coté obscur, de vouloir tout vous approprier,
Vous voir clamer dans le silence pour soulager la diplomatie, qui n'est pour moi qu'une moitié d'hypocrisie,
Cachée derrière ces longs discours faits de mots calculés, provocateurs et sournois, je me dois de crier :
À l'imposture ! Je ne peux ignorer ces sons étranglés, de peur d'y découvrir noirceur ou ignominie....

 

Voici l'oiseau sur sa branche, venu chanter avec élan, accusant et blâmant toutes les violences,
Le refrain de l'indifférence qui gronde, comme l’orage qui, soudain, lui brûla les ailes....
Il chante que ni la Bible, ni même le Coran, ne se prêtent à louer le refrain de ces turbulences....
Caché derrière politesse et élégance, l'homme, surpris, se doit de jeter toutes ces précieuses perles.

 

JACQUES DÉSIRÉ
26 AOÛT 2006
CONDÉ SUR L'ESCAUT

23:41 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

21 août 2006

VÉRITÉS ET PASSIONS

Quand la triste vérité vient me frapper de face,
Je renie l'indomptable douleur pour assumer
L'euphorie qui gronde dans le fond de mon coeur....


L'emprise de rêve qui m'étreint, demeure vainqueur
Devant l'abîme qui me ronge les songes les plus accablées.
J'accepte, pour la confrontation l'utopie d'une âme perspicace....

 

coucher.soleil.jpg


Qu'importe si le rêve idyllique, par la raison surpasse
La folle réalité qui menace et dédie aux amours échoués,
La pénitence meurtrière n'exigeant rien du bonheur....


Le bonheur n'est-il pas le cri sourd que, seul, lance un coeur
Epris par la véhémence de ces sentiments, victime apeurée
Par l'ironie du sort, négligeant peu à peu, le temps qui l'enlace !...


Je prétends que tout mutisme conduit la vérité vers l'impasse.
La passion a besoin de celle-ci. Reconnaître les plaisirs oubliés
Culpabilisent le bonheur d'être le plus géant des prestidigitateurs....



JACQUES DÉSIRÉ
LE 21 AOÛT 2006
CONDE SUR L' ESCAUT

23:29 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

17 août 2006

TOI MON AMOUR

TOI MON AMOUR EN QUI JE VOUE TOUTE PASSION ET CONFIANCE,
QUI EST MON UNIQUE PRÉTENDANT ET MA SEULE RAISON  DE VIVRE...
Où ES TU ? LORQUE DANS MES TIMIDES NUITS OU L'ESPÉRANCE
FUIT MON CŒUR SANGLOTANT POUR SURVIVRE ET TE SUIVRE...

QUE COMPRENDRE À TOUS TES LOURDS ET PESANTS SILENCES ?...
CE N' EST QU'UN REFUGE OU UN DÉDAIN QUE DE LOIN JE SOUPÇONNE
SANS DÉFENDRE LES ÉMOTIONS QUI S'ÉVANOUISSENT DEVANT TES ABSENCES
DE DIALOGUES QUI TE PARAISSENT TENDANCIEUSES, ALORS JE M'ABANDONNE...

OUVRE MOI TON CŒUR POUR QU'ENFIN JE PUISSE DE NOUVEAU RENAÎTRE...
C' EST MON AMOUR QUI TE PARLE A CŒUR OUVERT..., ÉCOUTE CETTE MÉLODIE
QUI EST MIENNE DE NE VOULOIR TE PERDRE CAR JE NE VEUX DISPARAÎTRE...
COMPRENDS QUE JE T'AIME, QUE MES SENTIMENTS SONT LOUABLES DE VIE...

COMPRENDS QUE  TE PERDRE SERAIT MEURTRIER ET LOURD DE CONSÉQUENCES
PLUS BEAU TU ES, COMME MON ÉTOILE, MON SOLEIL, NOTRE ZÉNITH, MON COURAGE...
QUE JAMAIS SANS TOI  JE NE SURVIVRAI, TU ES MA VIE, MON SEUL DOUILLET NUAGE
SUR LEQUEL JE VOUDRAIS TANT M' ENDORMIR ET TE RETROUVER PAR EXCELLENCE...

Jacques Désiré
Le 17 AOÛT 2006
CONDÉ SUR L' ESCAUT

23:34 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

16 août 2006

UNE LUNE ESSOUFFLÉE

Comme une lune voilée, essoufflée...
Je fuis la haine qui cherche
A raison le moment propice
Pour saisir mon coeur humilié...

Un ciel orageux perturbe
La percée de cette lune mélancolique
Qui, au moment où je rage...
Me lance un étrange défi...

Cette lune mystérieuse qui, sans étoiles, a dévoilé
La douleur qui est sienne, la solitude, j' en recherche
À  ce lien , le fruit amer de la clé du supplice
Qui supplie mon âme de ne jamais sombrer...

Combien cette nuit orageuse me perturbe...
La percée de cette lune mélancolique
Si mystérieuse décèle la sagesse d'un message
Qui refuse de s'embarquer pour la tragédie...

Où sont les couleurs de l'aube naissante enfouie
Sous ce film noir, venu troubler la transcendance
De nos passions mutilées, souffrant au regard de la circonstance...
Le regret s'installe dès que je soupçonne l'oubli.

Où sont les étoiles d'argent cette nuit défunte
Où mon âme infirme abîme mes yeux rougissants
Qui ne peuvent percevoir l'éphémère bonheur jaillissant
De cette lune qui se perce dans ce ciel, une empreinte.

Jacques-Désiré
CONDE SUR L' ESCAUT
Le 16 Août 2006

23:32 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

15 août 2006

UNE ÉMOTION

Qui ne peut voir le soleil briller dans son ciel
A perdu tout espoir qu'un jour une émotion se traduise !....
Celui qui s'essouffle à surprendre dans son sommeil
Le rival du songe survivra aux lueurs des nuits qui s'épuisent !....

Lorsque sur ta joue perle une larme c'est que peut être une émotion s'éveille
Refusant ardemment la souffrance de dix sept lunes où tout espoir s'enlise !....
Un crépuscule, puis un autre encore, s'accomplissent là où une étoile se révèle
Au gré du hasard, complice de ce destin qui s'affirme sous son emprise.....

Dès lors , je comprends la peur qui gronde, menace et se montre cruelle !...
Je devine l'odieuse infirmité du frisson arrogant d'une lune en crise...
Je me perds dans les montagnes coléreuses de l'angoisse où la raison se rebelle
S'annonce, où le silence siège et règne où s'installe l'indifférence que tout aiguise !....

JACQUES DÉSIRÉ
Le 15 AOUT 2006
Condé sur l'Escaut

17:35 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

14 août 2006

J'AI TRÉBUCHÉ....

COMME IL FAIT FROID DANS MA VIE !...
ET PARFOIS MÊME DANS L' OUBLI.
JE PLEURE LES AMOURS DÉFUNTS,
TOUT EN PLEURANT CEUX QUI MEURENT DE FAIM.

JE TRÉBUCHE À MÊME LE SOL....

LES SOUVENIRS ME BLESSENT ET MON COEUR SAIGNE.
J'AI MAL POUR ME RELEVER. JE SUIS DÉJÀ COMME MORT.
JE REFUSE CAR JE FUIS LA RÉALITÉ, LES BLÂMES ET QUE L' ON ME PLAIGNE...
C' EST ALORS QUE JE COMPRENDS QU'AMOUR ET PITIÉ ACCUSENT...,
À TORT PEUT-ÊTRE ? NON ! LA VIE EST PARFOIS AINSI FAITE ET CRUELLE..,

TROP DE  COMPROMIS OU DE PROCÉS FERONT DE MOI,
QUI SUIS DÉJÀ SI SENSIBLE,
UN ÊTRE, UNE ÂME MEURTRIE ET BLESSÉE.
TOUTES CES LARMES EN APPELLENT À L' AMOUR QUE JE SAIS RECONNAÎTRE,
QUE MON COEUR EN EST PRIS POUR CÎBLE.

JE DOIS ADMETTRE QUE L'AMOUR DEMEURE EN UN ÉMOI
SI PROFOND EN MON ÊTRE SI FÉBRILE....
SON SI DOUX SOUVENIR ME SUSSURE À L' OREILLE "LE VAGUE À L' ÂME"
ET ME RAPROCHE DE LA VIE.
ET  SON DOUX PARFUM PARVIENT A RAVIVER DES FLAMMES
AVANT QUE TOUTES ÉTINCELlES DE VIE NE S'ÉTEIGNENT
À JAMAIS POUR DISPARAÎTRE.

LE TEMPS  ME PROPOSE UNE RELÂCHE, UNE PAUSE.
JE M'INCLINE POUR CE DEVOIR QUI EST MIEN DE POUVOIR
ET SAVOIR BRISER LA CHAÎNE DU SOUVENIR, CE BRÛLANT MIROIR
Où UNE TRÊVE S'IMPOSE, ME HANTANT
À CHAQUE SECONDE QUE JE VIS, QUE JE RESPIRE...
UNE VÉRITÉ, HÉLAS SI PÉNIBLE TANT ELLE ME FAIT SOUFFRIR, VOIR MÊME... MOURIR.

JE NE SUIS PAS FAIT DE MARBRE QUE JE NE PEUX TAIRE...,
"LE SEIGNEUR M'A FAIT À SON IMAGE"

RECONNU PAR LES MIENS.
JE DEMEURE CLOUÉ AU LIT. TANT DE CRÉPUSCULES ET D'AURORES....
PRÉTENDRE LE CONTRAIRE SERAIT MENTIR.
JE RESPIRE ET ASPIRE À LA VIE...
CE DOUX VISAGE ASSASSINÉ PAR LA LOI DU DESTIN
A PERDU TOUT ESPOIR QUI POURTANT SE DEVAIT D'ÉCLORE...

Jacques Désiré
Le 14 Août 2006
CONDÉ SUR L'ESCAUT

23:36 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

07 août 2006

COMME....

Comme l'emporte le silence
Aux saisons rosées des temps sans élan....

Comme l'emporte l'innocence
Pleurant la violence des vents....

Comme un rêve émouvant
Éloignant l'ignorance aux vagues insolentes....

Comme les marées emportent le souvenir dans les océans
Aux creux de leurs vagues s'éloignant des rivages du temps....

Comme perçante, une lune, dans la nuit reluisante
Témoignant de leur fidélité sont les étoiles scintillantes....

Comme un été aux pluies de printemps
Déversant la souffrance évanescente....

Comme un monde où une foule effervescente, s'épuisant,
De ces sons étranges venus d'un vent d'espérance....

Comme un soleil réfléchissant
Le bonheur de l'amour refleurissant....

Comme un soleil rayonnant
S'évade une lumière étincelante....

Comme les louanges des mésanges fredonnantes
Le refrain d'un doux présage chantant....

Sur une terre agonisante d'évidence,
Redescendent les espoirs apaisant l'innocence....


JACQUES DÉSIRÉ
JEUDI 7 AOÛT 2006
Condé Sur L'Escaut

23:28 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

06 août 2006

LE PASSAGE

SI J' OSE TE PARLER DE LA PLUS SECRÉTE DES NUITS..
ELLE , QUI DE FRAYEUR TE FAIT SANGLOTER.
COMPRENDS QUE SON FRISSON EXISTE POUR TRADUIRE LA VIE...
POUR QU'AUCUNE EMOTION N' ÉCHAPPE A SA VÉRITÉ.

JAMAIS , JE NE TE PROUVERAI , MAIS AVEC REMORDS
QUE LE SEUL POINT COMMUN QUI EXISTE ENVERS TOUS
N' EST PAS LE BONHEUR QUE CHACUN RECHERCHE COMME UN FOU
MAIS UN AILLEURS PROMETTEUR QUI NOUS TERRIFIE.., LA MORT...

D' AILLEURS N' EST ELLE PAS UNE ISSUE POUR LES SOUFFRANCES DE CERTAINS...?
QUI SANS CRAINDRE LA CRITIQUE DE TOUTE MORALE EXISTANTE OU LE REPROCHE,
PAR LEUR ACTE DÉMESURÉ , DEVANCENT L' HEURE DU JUGEMENT SUPRÊME, QUE CHACUN
MÉPRISE JUSQU'À LES PERSÉCUTER DANS LEUR REPOS ÉTERNEL AUQUEL ILS S'ACCROCHENT..!

A CES SONS ETRANGES QUI ME TRANSPORTENT ET ME RÉVÉLENT UNE VÉRITÉ,
NOUS NE POUVONS PLUS FUIR CAR LA DOULEUR NOUS SUSPECTE DANS SON DÉLIRE...
NE SOUPCONNE JAMAIS LE DESTIN QUI T'A JUSQU'À CET INSTANT PERTURBÉ...
CAR UN JOUR , NOS CHEMINS SE CROISERONT ET NUL N'AURA JAMAIS LA FORCE DE MAUDIRE.

NOS ÂMES SONT TORTURÉES DE TE VOIR AGONISER DANS CE LIT DE PRIÈRE
REGARDE.., ESCORTÉS PAR LES ANGES , TES PROCHES SONT VENUS TE SOULAGER
AVEC EUX, EMBARQUÉ POUR LE LONG VOYAGE QUI, ENCORE, NOUS EST INCONNU
TRANSIS, NOUS NE POUVONS, AVEC TOI , CONTEMPLER ET SUIVRE LES LUMIÈRES
QUI, QUELQUE PART, ILLUMINENT LE MIRACULEUX CHEMIN QUE TU DEVRAS EMPRUNTER
POUR APPROCHER : " L' ÉTERNEL " , CE PASSAGE NOUS EST SANS OFFENSE DÉFENDU.

Jacques Désiré
06 Août 2006
CONDÉ SUR L’ESCAUT

23:35 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie