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24 février 2011

LE CHANT DES BALEINES

La terre a tremblé en Nouvelle Zélande.
Les séismes et leurs répliques m’effraient.
Les Chinois font pleurer les nuages à souhait.
De cette pluie artificielle naîtront des légendes....

Puissent celles-ci nous épargner !
Mon Amour, tes mains me retiendront.
Pour l'éternité, nos cœurs se soutiendront.
Sans toi, en eaux troubles, je me serais noyer....

Je crois entendre le chant des baleines.
L'espace est devenu l'océan des satellites.
Amarrés je ne sais où. Mais c'est une réussite.
Seul l'Amour se doit de ruisseler en nos veines....

Je veux retrouver un douillet nuage,
Et ne jamais oublier l'Amour qui m'habille.
Mon devoir est de soutenir ma famille.
En cet instant précis, je me fraie un passage....

Maman, entends-tu le chant des baleines ?
Elles s'accouplent ainsi en toute confiance.
Je crois qu'elles se protégent des urgences.
Leur chant soignera nos cœurs et nos veines....

Maman, tes mots nous réconfortent.
Les volcans ne défient en rien Dame nature.
Le ciel devient une chapelle : cela me rassure.
Enfin, l'oubli pourra refermer ses portes....

Mon bel Amour, je m'accroche à toi.
Les étoiles ont compris mon message.
Les baleines nous laisseront leur sillage.
Comme j'aimerais tant me blottir dans tes bras....

Jacques Corbehem
Le 24 Février 2011
Condé-sur-Escaut

02:57 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

17 février 2011

LA RIVIÈRE DES RÉJOUISSANCES

Ô combien cet hiver me semble long.
Vois-tu, sans toi, le temps s'éternise.
Mon cœur t'exprime ainsi sa franchise.
Les arbres, avec toi, soigneront leurs bourgeons....

Chaque jour, des étoiles naissent.
La lune voudrait pouvoir les baptiser !
Quand on se confie, tout peut se réaliser.
Mon Amour, nos baisers sont des caresses....

Que jamais nos cœurs ne s'épuisent !
Plongeons dans la joie de nos confidences.
T'aimer est la rivière des réjouissances.
Et que tous nos souhaits se concrétisent !

Les matins d'hiver deviendront souvenirs.
La terre n'encouragera aucune adversité.
Les oiseaux nous observeront sans anxiété.
Sur une montagne se gravera notre avenir....

Mon Amour, je t'invite à vivre chez nous.
Le printemps arrive. Les bourgeons vont éclore.
Les violons et ta mandoline plantent notre décor.
Rejoins-moi ! Je te serai fidèle comme un loup....

Notre bonheur ne peut plus attendre.
Aucune loi ne nous interdira de nous aimer.
Ma priorité sera toujours de t'accompagner.
Le jardin d'Éden pourra nous comprendre....

Les fleurs écoutent notre chance.
L'azur du ciel nous comblera de joie.
Je te ferai honneur, mon élégant Roi.
Mon Amour, ton cœur est bien..., en France.

Jacques CORBEHEM
Le 17 Février 2011
Condé-sur-Escaut

02:01 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

09 février 2011

LE TEMPS QUI PASSE....

Le soleil régit nos humeurs.
Le temps qui passe grave ses sillons.
Le vent vient flirter avec tous les horizons.
Et moi, je veux redécouvrir les fleurs....

Quand tu repars s'effondrent nos cœurs.
Saches que tu m'es précieux, mon Trésor.
La lumière vaudra toujours son pesant d'or.
À ton retour se ressourcera notre bonheur....

En ce moment, m'abandonne le courage.
Mon devoir est d'esquiver les mauvais coups.
Rassures-toi ! Je serai aussi vaillant qu'un loup.
Les médecins causeront encore leurs ravages....

Mon Amour, puisse disparaître ma rage !
À ton arrivée je déroulerai un tapis estival.
En France et dans le monde, c'est la pagaille.
Au printemps renaîtront les fleurs sauvages.

Il me faut retrouver un doux nuage.
On ne peut plus se parler en webcam.
Et dire que se sont mises à nu nos âmes.
Mon Amour, je ne supporterai aucun sevrage....

Les arbres veulent revoir leurs feuilles.
Je t'aime au delà du sens profond des mots.
Jamais notre bonheur ne sera un espace clos.
Et pour conclure, je déteste rester seul....

Le soleil régit ainsi nos humeurs.
Offres-moi ton corps, mon bel Amour.
Les fleurs épouseront la lumière du jour.
Et le ciel pourra comprendre nos ardeurs....

Jacques CORBEHEM
Le 9 Février 2011
Condé-sur-Escaut

02:23 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

03 février 2011

L'HORLOGE DÉMUNIE

Comme le monde est étrange.
La terre nous offre ses richesses.
Depuis longtemps le soleil la caresse.
Vois-tu ? La lune admire ces échanges....

Mon Amour, sans toi je m'ennuie.
Au loin, j'entends un trot de chevaux.
À l'orée du bois, gazouillent les oiseaux.
Toi seul sait ô combien j'aime la vie....

Roses mes certitudes, je suis gay.
La terre et la lune font bon ménage.
Du Vatican nous reviendront les orages.
Les cloches des églises prôneront la paix....

Notre terre restera amoureuse.
Les hivers seront toujours de servitude.
En t'écrivant, je reprendrai de l'altitude.
Mon Amour, la lune n'en sera pas furieuse....

Les vétérinaires respectent les animaux.
Des médecins se moquent de leurs patients.
Pour l'heure, m'enivrent les parfums de l'océan.
Et, dans les marécages, tanguent les roseaux....

De ma passion émerge ces mots.
L'homme en oublie les louanges de la vie.
Le destin a fait de moi une horloge démunie.
Pour l'éternité chanteront les oiseaux....

Notre monde devient si étrange.
Ainsi, la terre détestera les querelles.
Après les orages, naîtront les arcs-en-ciel.
Mon Amour, la lune admirera nos échanges....

Jacques CORBEHEM
Le 3 Février 2011
Condé-sur-Escaut

02:27 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

01 février 2011

LA LUNE PLEURE

Cette nuit, la lune a pleuré.
Les nouvelles du monde sont tristes.
La terre se réveille en restant réaliste.
Des peuples veulent retrouver un brun de liberté....

Tôt ce matin, les oiseaux ont chanté.
En Février, c'est la saison des mamours.
Les jours de l'année font mûrir notre Amour.
À nouveau, la vie et le printemps vont s'épouser....

Mais la lune pleure encore.
Voudrait-elle que je fasse chanter les mots ?
Comment le pourrais-je ? Je n'ai pas de piano.
Alors, trouvons vite un accord....

Il est vrai qu'elle déplore les maladies.
Celles-ci seraient-elles le résultat des armes chimiques ?
Le chant des baleines me rend ô combien nostalgique.
Voici une question qui fait perler la poésie....

Ainsi me déchire le corps médical.
En dire plus serait lui rendre honneur.
Mon Amour, toi seul réchauffe mon cœur.
À ces mots scintilleront les étoiles....

La terre se reconnaîtra dans l'immensité.
Notre bonheur en fera ruisseler les rivières.
En Amour, ne subsisteront pas les frontières.
Jamais je n'oublierai les liens de la solidarité....

Rien au monde n'embellira ma vérité.
Mon univers ne se brise pas en éclat de verre.
Combien les faiblesses du monde sont à taire.
Mon Amour, je pleure tant.... Mais je n'ose te l'avouer.

Jacques CORBEHEM
Le 1er Février 2011
Condé-sur-Escaut

02:25 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie