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24 juillet 2009

CONSCIENCE MORALE

Je viens d'éteindre la radio pour fermer les yeux....
Les nouvelles du jour ne sont guère réjouissantes....
Les infos ne s'abstiennent en rien, mais elles en plaisantent....
D'un rien, je reste pantois. Le courage ne devrait-il être contagieux ?

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L'info qui déforme les faits sans une prise de conscience morale :
J'ai entendu parler du réchauffement climatique de notre planète.
Des scientifiques accusent les animaux de celui-ci : çà me prend la tête !
L'évidence ne peut exclure les essais nucléaires qui, eux, nous seraient fatals.

 

Nul n'est prophète dans la vie. Nous ne vivons plus à l'âge de pierre....
Les contraires sont parfois démonstratifs en ciblant ainsi nos cœurs.
Dans ma tête se dessine un nouveau monde : il n'en sera que meIlleur !
La chance est convoitée par enchantement, et ce depuis l'aire primaire.

 

Aucune prophétie ne dictera vos propres lois.... Et pourtant !
Révélation en mon cœur qui, lui, remet tout en cause....
L'avenir pleurera pour plus d'une pétale de ces belles roses....
Mon élégant Amour avait compris cela depuis bien longtemps.

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Je ne suis pas prophète. Mais l'Amour pourra nous le dire....
Mon cœur me fait souffrir parce que la peur vient embraser ma vue....
N'accusez jamais plus le soleil d'être mon ennemi ! Ne l'étant pas devenu,
Reviens vite ! Mon tendre Amour, nos rêves et nos vies pourront s'épanouir.

 

Examen de conscience morale. Et je reste là à t'attendre....
Soutenir son indispensable pour vivre d'autres lendemains....
Notre avenir est indissociable. Puis je te serrerai très fort les mains....
Mon mental s’en portera au mieux. Au risque de te surprendre....


JACQUES Désiré
Le 24 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

22:28 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

21 juillet 2009

DANSERONT LES MOUETTES....

Mon Amour, je découvre l'immensité de nos chagrins....
Les silences en refrains chantent aussi leur indignation.
La douleur que tu ressens, je la reçois comme une équation....
Une équation à résoudre, où l'insuffisance a reconnu le dauphin.

dauphin.jpg

 

Ces dauphins sillonnent ta peine et ne sont responsables en rien.
Je devine ta tristesse qui ne peut être qu'une franche banquise !
En  revanche, je t'admire en t'offrant les clés ouvrant les remises....
Pour toi, mon Amour, je ferai fuir tous les requins que j'aperçois au loin....

 

L'un sans l'autre, nous n'acceptons ce lit ainsi déserté....
Notre nid d'Amour est troublé, car tu n'es pas auprès de moi....
Le soleil a beau être de plomb, il m'assomme en restant courtois.
La terre est ronde, embellie par les océans qui pleurent les naufragés....

 

Serions-nous alors ces naufragés qu'un petit rien emporte ?
Je rassure nos " je t'aime " : jamais personne ne les piétine.
Suspectons l'ennui qui nous dévore, et l'oubli en sera de platine.
Observe la comète ! Réduite en poussières, cela nous réconforte....

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Séisme en nos cœurs : et je t'aime pour en effacer tes peines....
Combien même les nuages envahissent le ciel ignorant les orages,
Tout mutisme pourchasse le bonheur convoité par les mirages.
Mirages émotionnels pour nos cœurs que l'Amour d'espoir sème....

 

Je resterai sage en ce mercredi, pour toi, mon bel Amour....
Pourtant, je t'avais dit que je ne voulais pas que l'on me touche.
Tu as eu raison : les toubibs cibleront leurs ultimes cartouches.
Alors percera à l'horizon le soleil qui acceptera nos légitimes appels au secours....

 

Chanteront les océans, puis danseront les mouettes.
Sur le rivage, nous ramasserons quelques coquillages....
Assis sur le sable humide, nous chasserons tous les clivages.
Et je t'écris, mon Amour, juste avant de rejoindre notre couette.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 21 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

22:58 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

LE SOUFFLE DE NOS CŒURS

Ne voudrais-je te sentir encore plus proche, mon bel Amour ?
Je veux régner à tes cotés pour entendre le souffle de nos cœurs....
Le soleil écoute le souffle du vent, et les cumulus n'en sont pas tricheurs....
Je pleure l'emprise des vents ne ricanant cet empire qui se veut d'Amour....

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Le bleu du ciel est contrarié, car je n'ose plus l'observer....
Ma mémoire travaille plus que de raison, tant j'ai si peur.
Cette peur réclame justice : que celle-ci à jamais demeure.
Un soupçon de colère siège dans ma raison : celle-ci ne cherche qu'à t'aimer.

 

 

La compassion se montre absente, et je trouve cela bien dommage....
Les saisons déclinent toutes responsabilités qui en resteront surprises....
Les feuilles tourbillonnent, puis vantent au vent des louanges incomprises....
Dès lors gronderont les orages qui épuiseront le tonnerre, lui rendant hommage.


Un empire royal pour toi, mon tendre Époux, mon grand Roi....
Des désirs jovials naissent puisque nous resterons des enfants.
Les soupirs du vent laisseront son empreinte pour très longtemps....
La lumière t'honore et te couronne afin que se gravent les divines lois....

lumiere.jpg

 

N'éteins jamais cette majestueuse lumière, mon grand Amour !
Notre Amour a reçu la clémence par nos prières qui s'accentuent.
Ton cœur étreint le mien qui, lui, se recherche dans l'inattendu.
Je deviendrai le loup pour défendre ce Roi qui m'attend depuis toujours....

 

Je te veux mon grand Amour, et je grandirai auprès de toi....
En ce jour, mes lacunes deviennent fortuites et intuitives....
Jamais n'ai-je autant aimé ! Tes regards percevront mes lueurs créatives....
Je cours pour mieux t'aimer, et je viens me blottir ainsi dans tes bras....


Je veux respirer le même air que le tien....
Nous pourrions humer ensemble les aurores....
Les doux parfums offerts par la vie, je les adore....
T'aimer me semble devenir un paradis que ton cœur soutient....


JACQUES DÉSIRÉ
Le  21 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

22:47 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

20 juillet 2009

LE CIEL EN EST SÉDUIT....

Dès que je t'aperçois, mon Amour, mon cœur battant chavire....
Ton Amour m'est si précieux, tout comme le sont tes doux regards.
Les frissons envahissent nos corps enlacés qui, eux, ne s'égarent....
Nous découvrons ensemble cet Amour ne pouvant que s'épanouir....

serrer.jpg

 

 

De mes yeux qui te contemplent, je me languis de toi, mon bel Amour....
Notre complicité en réclamera davantage, chaque fois qu'elle sera aux abois.
Mon cœur te susurre à l'oreille tout l'Amour qui s'éveille depuis la dernière fois....
Je suis amoureux mon Amour, si heureux que je voudrais te serrer pour toujours....

 

 

Les volcans rougissent et je veux t'aimer à les faire pâlir....
Les immenses océans découvrent ainsi de nouvelles rivières....
Les saisons refoulent aussi le réchauffement planétaire....
Le temps éternisera notre Amour et hommage lui sera plaisir....


Jamais ne s'épuisera cette volonté qui est de t'aimer....
Tu me combles de joie lorsque tu me serres tout contre-toi....
Je t'aime tant, mon grand Amour, et honneur à toi, mon grand Roi !
Que nos vœux se réalisent, mon tendre Époux, toi, ma fierté....

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Je ne voudrais te voir malheureux, mon Cœur, ma douceur....
Je comprends et j’adopte tes désirs qui deviennent si vite miens....
Je te serai fidèle comme un loup blessé, protégeant les siens....
Je t'aimerai à ne plus en voir la fin, car tu as ravivé le bonheur....

 

Tu deviens ma vie et je t'aimerai  pour la vie.
Je suis heureux et comblé de t'avoir à mes cotés.
Le soleil encourage notre Amour, toi, l'homme que j'ai rencontré....
Il était écrit quelque part que nous devions nous aimer : le ciel en est séduit.


Le bonheur qui court, et parfois nous oublie sur son chemin....
Les orages en ont tant pleuré, autant que le vent nous honore....
Tous les nuages que nous avons contemplés, nous adorent.
Et chante la pluie tombant sur la paume de nos mains pour d'autres lendemains.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 20 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

22:43 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

16 juillet 2009

J'IRAI MORDRE LA POUSSIÈRE....

J'irai mordre la poussière avant de perdre la vue.
Je montrerai ainsi ma colère qui en sera peu fière....
Pourtant, c'est un devoir de comprendre mes prières,
Je rechercherai toujours la vérité, et ce dans l'absolu....

 

La rage au ventre, ne devrais-je comprendre puis attendre vos excuses ?
Ces excuses qui me sont plus que nécessaires afin d'admettre l'inadmissible.
Ô savants toubibs ignorant la cause de cette tragédie qui rend la vie impossible.
J'aimerais tant voir se couvrir de honte votre visage, mais mon cœur s'y refuse....

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Mirage en ce cœur qui en attendait plus qu'il n'en fallait, et pour cause....
Surtout ne me jetez jamais plus la pierre ! Là où j'accuse votre ignorance....
Combien votre arrogance me tourmente, refoulant ainsi votre indifférence.
Je vous joins mes inquiétudes qui, elles, ne peuvent ressembler à une névrose....

 

 

Vos canules m'ont appris quelques injures : n'en soyez guère surpris...!
Nous sommes à plaindre, vous et moi, devant la perplexité de ces injures....
Ces injures passant d'un camp à l'autre, ne ravivent que mes meurtrissures.
Et je m'épuiserai pour vous montrer le chemin : celui qui rejette les compromis.

 

Prenez en considération les larmes qui perlent sous mes paupières....
Le respect se gagne. Je ne renie rien, puisque mes horizons seront l'Amour....
Ne redoutez pas les insipides revanches ! Je pleurerai les regrets sans velours.
Tombera une avalanche émotionnelle du cœur, et j'irai mordre la poussière.

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Je suis désorienté comme le serait un enfant assis sur un banc....
Je vais mordre cette poussière avant que ne tombe la blanche nuit....
Ma colère se repose sur une branche où, de lassitude, je fus séduit....
Et je reprends de l'altitude pour contempler notre Amour si élégant....

 

 

Je te suis fidèle comme un pauvre loup hurlant....
Les canicules pleurent les aurores que j'ai plaisir à humer....
J'en blesse mon matricule que, seule, la médecine a décliné....
Le monde comprendra la douleur de mon cœur jamais ne renonçant....

 

Le Ciel se rebelle avant que je n'embrasse la poussière....
Et tu seras comblé, mon tendre Époux, par nos alliances....
Les quatre saisons vont ainsi épouser toutes nos confidences....
Les feuilles des arbres ont enrichi le sol : celui d’où s'élancent nos prières....

JACQUES DÉSIRÉ
Le 16 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

03:44 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

08 juillet 2009

L'ÉLÉGANCE DES RÉFLEXES....

J'entends le souffle du vent venu pour nous accorder un peu de répit....
Les oiseaux rendent hommage à ce souffle qui fait tanguer les bambous....
Ces chants si réconfortants, qu'ému, en perlent les larmes sur mes joues....
Le chant du coq m'interpelle et me révèle que rien ne se maîtrise dans la vie.

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Le Ciel pleure le silence du soleil réfléchissant ses rayons dans une flaque....
Sur cette flaque d'eau se reflètent les réminiscences que chemine mon cœur....
Frénésie de la plume surprenant mes états d'âmes qui en accepte la primeur....

Naît alors un arc en ciel : le soleil ne peut flirter avec la pluie. Et je prends une claque.


Le tonnerre ne se blase pas des orages puisqu'il est leur complice.
Les canicules sont redoutables et le pleureront dans l'élan de ses pas.
Le temps est contrarié par les saisons qui ne se retrouvent plus dans cet amas....
Cet amas des contraires se succèdant sans comprendre le ridicule de ce délice.

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Et je dépose ces mots pour toi, mon tendre Époux....
Je n'accepte plus la souffrance ne pouvant se partager....
Auprès de toi, mon Amour, tout est possible. Même rêver....
Ces rêves ont surpris dans le bois le chant des hiboux....


La passion approuve l'élégance des réflexes de nos cœurs....
Nos cœurs et notre Amour s'épanouissent dans un ciel de raison....
Combien l'avenir en bercera nos " je t'aime " qui combleront ces horizons....
La confiance règne depuis que l'arrogance a pourchassé les mauvaises rumeurs.


JACQUES DÉSIRÉ
Le 8 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

22:18 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

04 juillet 2009

CE VERTIGINEUX CANYON....

Que devrais-je dire devant votre fallacieuse curiosité déplacée ?
Le pire reste à craindre lorsque vous vous mettez à brailler sur moi....
La médecine fait fausse route puisqu'elle en défie ma douleur et ma foi....
Elle en néglige ma peur et mes craintes qui s'expriment en toute loyauté.


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Dans le canyon de mes incertitudes s'engouffreront les vents....
Ces vents blâmeront votre cupidité. En pleureront les nuages....
Je confierai mes volontés à Dieu. Que le Ciel puisse en faire bon usage !
Ma franchise en déversera sa lassitude qui comblera la mémoire du temps.


Qu'adviendra-t-il de cette médecine n'éprouvant aucune compassion ?
La noblesse régnait aux côtés des praticiens qui exerçaient avec courtoisie....
Votre soif de savoir est plus qu'exacerbante puisqu'elle vit dans l'hypocrisie....
Ma confiance ne se résigne là, où d'arrogance, je dénonce ma conviction....


Combien d'examens seront nécessaires pour enfin admettre mes priorités ?
Comprendre que mes espoirs et ma vie ont pour seule vue.... un précipice.
Les aurores contempleront ce vertigineux canyon accueillant les supplices....
Nul ne saura mon exigence si la confiance est aux abois, si elle est désabusée.


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Au sommet de cette paroi, je prierai avec les vents pour ainsi me calmer....
Mon passé ne défie le présent qui se grave sur la roche de ce vertigineux canyon....
Se multiplieront les saisons où précieuses sont ma vie et ma vue qui tourbillonnent....
Le vertige qui ébranle ma mémoire me promet le respect ne pouvant m'être épargné.



Ô mon Amour, j'ai si peur et personne ne me comprend....
Les larmes tombent à grands flots tant elles ont à offrir....
Offrir ce qu'elles ont appris. Sans toi, rien ne peut s'accomplir....
Je t'attends, mon Amour, mon tendre Époux, au cœur élégant....

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Jamais plus la peur ne devrait m'ébranler....
Je suis consterné. Et je veux me blottir dans tes bras....
Oui mon Amour ! J'éprouve le besoin de te sentir, toi, mon grand Roi....
J'admets être au bord de l'évanouissement, et je ne demande qu'à t'aimer....


 

JACQUES DÉSIRÉ
Le 4 JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

03:37 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie

01 juillet 2009

LA COURTOISIE DU SILENCE....

Le sommeil ne devrait pas me réclamer autant d'efforts....
Celui-ci demeure indispensable car il devrait être réparateur.
Au soleil levant, j'en oublie les rêves m'emportant vers un ailleurs....
Sur mon lit de sable, sans toi, mon Amour, d'ennui je ne m'endors....

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Une porte s'entrouvre pour ce besoin d'espérer....
Je ne peux perdre la vue puisque l'Amour m'est revenu....
Cet Amour m'ouvre les paupières pour me secourir dans l'absolu....
Mon macula est atteint. Mes yeux et mon cœur ne cherchent plus qu'à t'aimer....


Tout se bouscule dans ma frêle tête, tel un tourbillon....
Privé de sommeil, je reste éveillé pour humer le parfum des aurores....
Devrais-je les mémoriser dans mon subconscient qui, lui, ne s'évapore ?
Arrivent les canicules brûlant la terre que le destin ne peut y poser ses jalons.


Ces jalons de la fatalité, voire ses sillons ne pouvant être creusés,
Puisque ma vérité et mon âme feront naître la courtoisie du silence....
Jamais je ne fermerai les yeux : même serait-ce un combat perdu d’avance ?
Non ! Mon ignorance est sage et ne veut contrarier l'indifférence offensée.


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Mon âme gravite les montagnes pour reprendre son souffle....
L'indifférence se pavane dans le couloir des dangers incontrôlables....
Mon cœur témoigne des doléances qui ont leur prix, me paraissant fiable....
Tombe la fraîcheur de la Lune éprouvée par la raison du vent qui ne s'essouffle.



L'actualité m'effraie puisqu'elle n'est guère rassurante....
Pour l'heure, toutes les catastrophes emprisonnent ma joie....
Je pleure comme jamais. Et ces larmes réclament l'Amour de son Roi....
Ô mon amour, tu me manques, même si les étoiles se veulent confiantes....


Pour la vie, je veux grandir auprès de toi, mon tendre Époux....
Je défendrai notre cause même si tu n'es pas à mes côtés....
Nombreuses furent les roses que mon cœur n'ose les compter....
Je cherche à comprendre la peur m'étreignant : tout en devient flou.


Puis le Ciel en fait appel à la courtoisie du silence....
Ce silence qui déplore les compromis de la science....
Les éléments se ressaisissent pour fuir en amont l'arrogance....
La prudence est un fruit pleurant qui ne se confie que dans le silence....


JACQUES DÉSIRÉ
Le 1er JUILLET 2009
Condé sur l'Escaut

23:13 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie