Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21 mars 1996

LE GRAND PARDON

Combien j'ai mal de te savoir loin de mes regards, loin de mes chagrins
Que je ne sais partager, que je ne sais te conter, qui me surprennent parfois....
Combien je souffre lorsque ton corps et ton cœur somnolent et ignorent le mien....
Comprends le supplice de mes nuits persécutrices qui ne répondent à aucune loi.

petales.jpg

 

Sache que chacune de mes larmes qui perlent sur mes joues tendues
Sont des pétales de roses fanées qui profanent le jardin du bonheur,
Que ces mêmes pétales viennent furtivement nourrir par un engrais devenu
Mes terres qui te sont promises pour y semer le songe retenu prometteur.....

 

 

Tu dois savoir que mon cœur pleure et frissonne toutes tes absences....
Chaque seconde dessine un enfer qui n'est pas défendu par la raison....
Que la peur vient étreindre mon corps et m'épargne toute clémence....
Elle prétend que c'est un délit de t'aimer ! Moi, je te demande pardon.

JACQUES DÉSIRÉ
LE 21 MARS 1996
VALENCIENNES

17:41 Publié dans Essai poétique | Tags : poésie